Quand le chemin est caillouteux
Montant raide comme les Alpes
Le promeneur opiniâtre trébuche hors d’haleine
Quand la nuit tombe
Et la pluie forte frappe
Il s’arrêtera et se reposera
En attendant le matin
Quand le soleil se lève de l’horizon
Et la pluie s’arrête en douceur
Des ruisseaux chouchoutent aux oreilles du promeneur
L’invitant à apaiser sa soif ardente
Verdure de la forêt chante au Ciel
Et le vent parfumé de mille fleurs
Souffle sur la prairie vaste
Et disperse tout souci
Reposons