今日、何する? What will I do today?

過去の記憶に生きるのではなく、未来(明日)の思いに生きるのではなく、今日という現在を生きよう!

セクハラに関する記事 Le Courrier

2018年01月30日 10時50分26秒 | 語学
スイスのジュネーブにある新聞 Le Courrier
Sexual harassment(仏Harcelement sexuel)に関する記事です

たまには頭の体操でフランス語、英語、イタリア語、スペイン語を
読み、書き、聞き、話してみましょう。

Du sexisme au harcèlement sexuel
«Tout se passe au fond comme si les femmes au travail – ou dans la sphère politique – n’étaient pas considérées comme des professionnelles.» Loin de la drague ou de la séduction, le harcèlement sexuel relève des questions de pouvoir. De la blague grasse au machisme «bienveillant», Viviane Gonik pointe différentes déclinaisons de la domination.

La Loi fédérale sur l’égalité entre femmes et hommes circonscrit le harcèlement sexuel au lieu de travail, mais elle englobe dans les comportements incriminés tous les actes de sexisme. KEYSTONE

Depuis que l’affaire Weinstein a éclaté, la question du harcèlement sexuel est omniprésente dans tous les débats, incitant les femmes à désigner leur agresseur et poussant les différentes autorités à prendre des mesures. Beaucoup de propos sont tenus qui peuvent laisser perplexe. On évoque la parole libérée des femmes, alors que depuis des décennies elles subissent ces violences, en parlent et s’en plaignent dans une indifférence opaque. Selon Karine Lempen, professeure de droit à l’université de Genève, qui a étudié environ 200 décisions de justice liées au harcèlement sexuel au travail rendues en Suisse entre 2004 et 2015, les victimes ont perdu leur procès dans 80% des cas (1).
Par ailleurs, certain-e-s craignent une vague de puritanisme qui limiterait les possibilités de «draguer» des femmes (2), oubliant au passage que la séduction n’a rien à faire avec le harcèlement et que se faire embrasser de force, se faire mettre la main aux fesses ou recevoir des images pornos sur sa messagerie ne sont pas les manières les plus plaisantes pour entrer dans une relation amoureuse.
Le problème du harcèlement sexuel n’est pas une histoire de sexe, de drague ou de séduction, mais bien une question de pouvoir et de domination. C’est la partie agressive et violente du sexisme, omniprésent dans les espaces publics, tant dans la rue qu’au travail. Il constitue une intrusion non voulue dans la vie privée et dans l’intimité. On peut alors se demander quel est le message véhiculé par ces formes de domination.
Au travail, les femmes ne sont pas vraiment à leur place
Si de plus en plus de femmes ont un emploi et travaillent à l’extérieur de chez elles, elles sont néanmoins toujours vues comme plus légitimes dans la sphère familiale que professionnelle. La «vraie» place des femmes n’est ni dans la rue, ni dans un lieu de travail, mais à la maison. Le langage en est une belle illustration: un homme public est un homme d’influence; une femme publique est une prostituée que tout homme peut aborder.
Le sexisme peut prendre des formes multiples: des réflexions sur le physique et la manière de s’habiller, des blagues lourdes, comme le témoigne S. dans le blog «sexisme ordinaire» (www.sexismeordinaire.com/): «Lors d’une réunion, l’ambiance est détendue et mon boss se dit qu’une bonne blague ne serait pas de trop: ‘Comme disait mon père, les femmes c’est que de l’eau, soit ça pisse, soit ça pleure…’».
En 2016, le New York Times publiait une tribune de Sam Polk, un ex-trader repenti, parlant de la tradition à Wall Street du bro talk, la conversation entre «frères». (3) Une véritable confrérie, au sens premier du terme, qui exclut de fait les collègues femmes en les ramenant au statut d’objet sexuel. Sam Polk y évoque ces armées de traders dressés à fanfaronner: «à propos de collègues féminines: J’aimerais la prendre par-derrière». Si les femmes protestent, on les dénigre d’autant plus: «ce n’est pas si grave», ou «c’est juste une blague». Il faudrait prendre une blague sexiste dans la figure et de plus en rire – mais, c’est connu, les femmes n’ont pas le sens de l’humour.
On peut aussi évoquer la coutume d’appeler les femmes par leur prénom, quel que soit leur statut. En novembre dernier, la télévision française diffusait la passation de pouvoir au poste de secrétaire d’Etat auprès du ministre français de l’Economie. On voyait Bruno Lemaire remercier le jeune sortant en indiquant ses prénom et nom, et présenter la nouvelle secrétaire d’Etat, femme plus expérimentée, uniquement par son prénom. On pourrait aussi parler des femmes ministres du gouvernement Juppé, que les médias avaient affublées du sobriquet de «jupettes», signifiant implicitement qu’elles n’étaient là que pour la décoration.
Ces comportements discriminatoires limitent de fait les possibilités de carrière des femmes: elles se sentent humiliées, adoptent des stratégies d’évitement, s’habillent de la manière la plus neutre, se taisent de peur de subir des remarques déplacées. Une étude publiée en 2016 à l’Université de Genève indique que le sexisme exprimé sous une forme directe ou subtile (hostile ou bienveillante) constitue sans doute un des obstacles majeurs aux carrières des chercheuses (4).
Si les femmes réagissent trop brutalement, elles perdent leur emploi. Si elles ne disent rien, aussi. Si elles veulent dénoncer en interne leur agresseur, le harcèlement sexuel devient harcèlement moral. Ainsi, les femmes qui, dans leur travail, ont une fonction d’encadrement ou de supervision encourent beaucoup plus de risques d’être mobbées que leurs collègues masculins. Selon l’auteure, c’est la preuve que le harcèlement est moins une question de désir sexuel que de contrôle et de domination: pour les collègues, clients et supérieurs hiérarchiques, il servirait d’«égaliseur» dans les relations avec les femmes en position de pouvoir (5).
Un moyen de bien faire comprendre aux femmes qu’elles outrepassent leur rôle
C’est d’autant plus réel en période de chômage, où les femmes sont alors perçues comme des concurrentes prenant la place des hommes. Le sexisme jusqu’au harcèlement est alors un moyen de bien faire comprendre aux femmes qu’elles outrepassent là leur fonction et leur rôle essentiel, pénétrant dans un territoire naturellement dévolu aux hommes où la chasse peut-être alors ouverte.
Dans certains secteurs professionnels qui se sont construits et organisés autour de la figure de l’homme fort, des comportements virils – voire machistes – sont valorisés pour faire face au danger et à la peur. C’est ce que Christophe Dejours a décrit comme une «idéologie défensive de métier» (6). On peut citer le domaine de la médecine, dans les études comme à l’hôpital, où l’omniprésence de la sexualité (à travers blagues, commentaires, dessins et/ou harcèlement sexuel) pourrait servir de frein à la peur de la mort et à l’omniprésence des corps. Cependant, ce sont les femmes qui sont avant tout visées par ces remarques, comme l’éclaire l’exemple de cette interne qui, entrant dans une salle d’opération, se fait accueillir par «tiens, voilà un vagin qui entre». A noter, de plus, que ces comportements émanent presque exclusivement de médecins bien placés dans la hiérarchie. L’entrée massive des femmes dans cette profession n’a pas fondamentalement modifié cette survalorisation virile. Du coup, les femmes font souvent semblant d’apprécier ces attitudes, les copiant parfois pour se faire accepter dans le «club».

Tout se passe au fond comme si les femmes au travail – ou dans la sphère politique – n’étaient pas considérées comme des professionnelles. Le terme de «promotion canapé», largement utilisé pour décrier les ambitions professionnelles des femmes, laisse entendre que leur carrière n’est pas due à leurs compétences mais avant tout à leur capacité de séduire.
Face aux caractéristiques d’expertise, de rationalité et de sens du commandement attribuées aux hommes, ce sont avant tout des «qualités innées» liées aux rôles féminins qui sont mises en avant: dévouée, attentive, discrète, maternelle, rangée, patiente, compatissante. Le rôle premier et «essentiel» des femmes en milieu professionnel devient alors celui de femmes d’appui ou de confort à disposition de tout homme, puisqu’elles sont en dehors de leur foyer et hors de la protection de leur «homme».
Sexisme et harcèlement sont deux facettes de la domination masculine. D’ailleurs, les deux sont sanctionnés par le même article de loi. En Suisse, depuis 1996, le harcèlement sexuel est défini par la loi fédérale sur l’égalité entre femmes et hommes comme une discrimination. Par «comportement discriminatoire», on entend «tout comportement importun de caractère sexuel ou tout autre comportement fondé sur l’appartenance sexuelle, qui porte atteinte à la dignité de la personne sur son lieu de travail» (art.4 LEg).
Cette définition est d’un côté restrictive, car elle circonscrit le harcèlement sexuel au lieu de travail, mais elle est d’un autre côté assez large, car elle englobe dans les comportements incriminés tous les actes de sexisme. Ce qui est important, c’est le caractère non désiré des comportements. De plus, le harcèlement peut se manifester sous la forme de chantage, mais aussi, et c’est plus souvent le cas, de climat de travail hostile. Dans ce dernier cas, «la personne victime est soumise à des plaisanteries, des allusions, des insultes, des propositions, toutes de caractère sexuel et sexiste.» (7)
On peut espérer qu’au-delà du battage médiatique autour des histoires de prédateurs sexuels, une authentique politique de mixité dans les entreprises mettra un terme à ces formes de discrimination. On peut également souhaiter que de véritables sanctions soient prises envers les agresseurs, pour que cesse enfin l’impunité dont ils profitent.
* Ergonome, spécialiste de la santé au travail. Viviane Gonik tient à remercier l’Institut romand de recherche et de formation sur les rapports sociaux de sexes «le 2e Observatoire» qui œuvre depuis vingt ans pour dénoncer toutes les formes de discriminations, www.2e-observatoire.com
Publication conjointe avec REISO, revue d’information sociale, www.reiso.org
1) Karine Lempen, Aner Voloder, «Analyse de la jurisprudence cantonale relative à la loi sur l’égalité entre hommes et femmes (2004-2015)», UNIGE, 2017, http://bit.ly/2DKWpzg
2) Voir la tribune polémique «La liberté d’importuner», signée par une centaine de femmes, parue dans Le Monde du 10 janvier 2018.
3) Lire Julie Rambal, «La misogynie banalisée par le rire», Le Temps du 6 juin 2017.
4) Klea Faniko, «Carrières académiques à l’Université de Genève: le facteur humain», 2016.
5) Heather McLaughlin, «A longitudinal analysis of gender, power, sexual harassment in young adulthood », Congrès de l’American Sociological Association, 7-11 août 2009.
6) Christophe Dejours, Le facteur humain, coll. Que sais-je?, Presses Universitaires de France, 2014.
7) Véronique Ducret, Pour une entreprise sans harcèlement sexuel. Un guide pratique, Genève, Georg éditeur, 2008 [2001], p. 22.

スペイン語の新聞を読んでみよう!EL PAIS Canenaって知ってる? 

2018年01月23日 16時16分21秒 | 語学
普段読む新聞は、というかこれしか読まないが
スペイン語は、 EL PAIS

イタリア語は、 Corriere della Sera
フランス語は、 Le ParisienかFigaro

EL PAISのこの写真が気に入った


どうよ?
オリーブ畑が永遠と広がっている  素晴らしいね!  参った!参った!

何て広さなんだ!
是非、行ってみたい  今年の夏に行ってみるかな?

CANENAって知らなかった。
いやあ~よかったよこの記事に出会って

エキストラバージンオリーブオイルの有名ブランドでもあるらしい

Canena (un enclave de 15 kilómetros a la redonda en la comarca de La Loma) da para conocerlo todo sobre el oro líquido, que se ha aliado con la gastronomía de la zona para hacer causa común y ganar adeptos.

CANENAは、CASTILLO DE CANENA カネナ城. ヴァーニョ家が修復、保護している文化遺産だそうです。
todo sobre el oro liquidoという表現、特に、 oro liquidoとオリーブオイルを表現していることが気に入った

Canena, el reino de las aceitunas

Ruta entre olivares por la comarca de La Loma, en Jaén, con paradas en museos, almazaras y restaurantes donde el aceite de oliva es una exquisitez

El sueño de quienes forman parte del mundo del aceite es que un día este tenga el mismo pedigrí que el vino. Que uno vaya a un restaurante y le muestren una carta con sus variedades. Y que siguiendo el modelo del enoturismo, consiga un gran poder de convocatoria. Ese día no está muy lejano y Jaén es la avanzadilla. Una incursión por Úbeda y Baeza, ciudades patrimonio mundial, y Canena (un enclave de 15 kilómetros a la redonda en la comarca de La Loma) da para conocerlo todo sobre el oro líquido, que se ha aliado con la gastronomía de la zona para hacer causa común y ganar adeptos.

Canena, el reino de las aceitunas ampliar foto
javier belloso

La primera parada es el centro de interpretación Olivar y Aceite, en Úbeda (corredera de San Fernando, 32), situado en un bello edificio del siglo XVII, La Casa de Tercia, que estaba abandonado. De aquí se sale siendo casi un entendido: las exposiciones y paneles, a modo de túnel del tiempo, recorren el proceso de elaboración del aceite desde la antigüedad hasta hoy, desde el olivo hasta que llega a la bodega. Es muy activo: ofrece visitas a olivares y almazaras, talleres y degustaciones diarias (hay más de 300 variedades de aceitunas).Tiene además tienda, una cocina que inauguró el chef Dani García y hasta una zona infantil para empaparse cuanto antes de esta cultura milenaria. Si se quiere ampliar, el Archivo Histórico Municipal, en el palacio Vázquez de Molina, obra renacentista como tantas aquí, es una mina. Y está en la plaza del mismo nombre, una de las más bellas.

En el centro de interpretación del Aceite, en Úbeda, se ofrecen visitas, talleres y degustaciones. Además, tiene tienda

Picor o amargor

Por supuesto, en este centro se programan catas, método infalible para desmontar algunos mitos sobre el aceite. Por ejemplo, si pica o amarga, ¿está malo? Nada más lejos; esto depende del tipo de aceituna, incluso el picor y amargor son considerados dos atributos positivos en los análisis. De los tipos de aceite también saben en la Cantina La Estación (Cuesta Rodadera, 1), donde siguen la máxima de que un buen aceite —siempre extra virgen, que no tiene ningún defecto— da imagen y es un valor añadido. Una botella diferente preside cada mesa. Hasta las etiquetas, obra de Isabel Cabello, están diseñadas (como dicen aquí, “vestir la botella”). Otros restaurantes para comer o picar: Amaranto (Hortelanos, 6), La Imprenta (plaza del Doctor Quesada, 1) o Antique (Real, 25), en una calle a espaldas del parador (plaza de Vázquez de Molina, s/n), que es un filón para tapear (por estos lares las tapas son gratis). Y no perderse la Taberna Misa de 12 (plaza del 1 de Mayo), no más de 20 metros cuadrados por los que merece la pena hasta madrugar, suele estar petado. Y aunque suene obvio, no se debe salir de Úbeda sin contemplar otros monumentos, algunos escenarios de novelas de Muñoz Molina, como la Casa de Las Torres (plaza de San Lorenzo, 7), gran obra del plateresco, y, en la misma plaza, la iglesia de San Lorenzo, además de Santa María de los Reales Alcázares (plaza de Vázquez de Molina). Y para despedirse con las mejores vistas, el mirador de San Lorenzo.

Bodega de aceite de 1848

Baeza, a 10 kilómetros de Úbeda, tiene la mitad de habitantes (16.000) pero un patrimonio igualmente admirable. Empezando por la plaza del Pópulo, la catedral, el palacio de Jabalquinto (fachada gótica, escalera barroca y patio renacentista) o la antigua Universidad de Baeza, con su patio manierista y el aula donde enseñó el poeta Antonio Machado.

Volviendo a la ruta, la Casa del Aceite (plaza de la Constitución, 9) ofrece catar y comprar cualquier cosa que huela a grasa (vegetal, buena). Y si hay tiempo, a 10 kilómetros se encuentra el entorno de La Laguna, declarado paraje natural, que merece la pena para un receso. Conviene visitar asimismo la escuela de formación Hacienda La Laguna (Puente del Obispo, s/n), de donde ha salido la nueva generación de cocineros y que incluye una granja escuela para que pequeños y mayores se empapen de naturaleza, y el Museo de la Cultura del Olivo, donde enseñan hasta a hacer jabón (de aceite, claro). Atención a su bodega, de 1848, arquitectura industrial con reminiscencias centroeuropeas. Y como aquí también se come, un clásico que no falla, El Pájaro (paseo de Portales Tundidores, 5); Taberna El Arcediano (Barbacanas, 4) o Palacio de Gallego (Santa Catalina, 5).

面白い記事発見 Corriere della Sera イタリア語の新聞読んでみましょう

2018年01月23日 14時24分01秒 | 語学
Corriere della Seraに日本人学生ががVENEZIAで
ぼったくりにあった記事が目についたので読んでみました

ステーキ4個、魚のミックスフライ等食って1,143ユーロ払ったらしいが。。。


1,143ユーロって幾らよ?
今日のレートは? 135.76円

総額、なんと155,173円だよ
勿論、店主は当局の警察で事情徴収を受けたとさ

よくまあ、支払ったものだ!
法外な値段じゃないか。。。。

Pranzo da 1.100 euro a Venezia, ecco le prove degli studenti giapponesi

Le immagini della denuncia e della transazione con la carta di Credito. L’Ascom: «Un danno per l’immagine della città, sì a un marchio legato al codice etico »

VENEZIA Hanno formalizzato la denuncia nella caserma della Guardia di Finanza di Bologna, città dove risiedono per studiare, i quattro giovani turisti giapponesi che in dicembre hanno pagato 1.100 euro per un pranzo a Venezia. Il maxi-conto è stato pagato dai giovani, studenti di cucina e ospiti in Italia all’osteria Da Luca vicina a piazza San Marco per quattro bistecche (in realtà si trattava di quattro fiorentine da 400 grammi), una frittura mista di pesce, acqua e servizio. Il comando della Polizia municipale di Venezia ha convocato Marco Gasparinetti, il portavoce della piattaforma civica «Gruppo 25 Aprile», il primo a rendere nota la vicenda. Il ristorante non avrebbe emesso lo scontrino fiscale, i ragazzi come prova hanno solo il tagliandino stampato dopo aver pagato il conto con la carta di credito. Per questo motivo i giovani hanno presentato alle Fiamme gialle non una denuncia per truffa, ma un esposto sul pagamento, ipotizzando la violazione fiscale per il mancato rilascio dello scontrino.

La ricostruzione

Secondo la denuncia presentata a Bologna, gli studenti, liberi da impegni scolastici, alle 12 sono entrati nel locale e hanno ordinato una fiorentina a testa (il menù citava il peso della carne, circa 400 grammi) e una frittura mista di pesce da condividere. I giovani hanno precisato che prima dell’arrivo dei piatti, per due volte il cameriere ha versato un calice di vino senza che fosse stato ordinato. Alla richiesta del conto, lo stesso cameriere avrebbe fatto la somma con una calcolatrice portatile, mostrando l’importo finale ai commensali.

Il commento dell’Ascom
«L’episodio non dà certo una bella immagine di Venezia e dei suoi ristoranti». Lo dice il presidente del settore turismo dell’Ascom Giuseppe Galardi, sottolineando che «per fortuna però, questo come altri, sono casi isolati perché l’offerta della città è ben altro, e il cliente generalmente viene rispettato». «Come Ascom Venezia - spiega - sono anni che ci impegniamo nel far proporre servizi di qualità da parte dei nostri associati, facendo seguire un codice etico e organizzando corsi di formazione. Mi pare che in questo caso il ristorante sia svincolato da qualsiasi associazione di categoria e questo è il risultato».

La proposta

Il presidente Ascom Venezia Roberto Magliocco lancia una proposta: «Perché non creare un marchio legato al codice etico con il patrocinio dell’amministrazione comunale? L’operatore che dovesse aderire all’iniziativa riceverebbe una vetrofania da esporre nel proprio locale così da essere riconoscibile e far sentire il turista tutelato».

22 gennaio 2018 (modifica il 22 gennaio 2018 | 19:18)

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Le Parisienでも読んでみましょう

2018年01月23日 12時51分54秒 | 語学
22日付けのLe Parisienの中の記事です

Harcèlement sexuel : Maïwenn, en larmes, réagit à la tribune signée par Catherine Deneuve

Par A-C.D., 22 janvier 2018 | 17h00

Invitée de «Stupéfiant» ce lundi soir, l’actrice y lit sa propre tribune sur le harcèlement. Elle ne prend position ni pour Catherine Deneuve, ni pour ses détracteurs.

Elle s’était déclarée « anti-mouvement féministe » en août dernier. Cette fois-ci, Maïwenn Le Besco a tenu à livrer son point de vue sur la libération de la parole des femmes depuis le début de l’affaire Weinstein, dans un témoignage diffusé en intégralité ce lundi soir lors de l’émission « Stupéfiant ! » (France 2) présentée par Léa Salamé.

Un numéro consacré aux suites de l’affaire Weinstein cherchant à savoir si une « nouvelle censure » est en train de voir le jour. Parmi les invités, la secrétaire d’Etat chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes Marlène Schiappa, l’humoriste Fabrice Eboué et la réalisatrice et actrice Maïwenn.

Dans un extrait diffusé ce lundi matin, Léa Salamé explique à Maïwenn qu’elle souhaitait absolument que celle-ci prenne la parole : « Vous m’avez dit non, puis vous m’avez dit : « laissez-moi réfléchir », puis vous avez réfléchi, puis vous m’avez dit « non » et puis vous m’avez appelée ce matin en me disant : « en fait, j’ai un texte à lire » » rappelle la journaliste avant que Maïwenn ne se mette à la lecture de sa tribune.

Vidéo. La tribune de Maïwenn sur la libération de la parole des femmes

« Par pitié, arrêtons de nous juger les unes les autres »

« Ecrire un film, écrire une lettre, écrire un SMS, employer des mots et des phrases qui ne veulent pas dire la même chose pour vous que pour moi. Je réclame le droit de panser mes plaies comme je le veux. Je réclame le droit de coucher avec qui je veux pour le temps d’une nuit sans être une femme facile quand les hommes sont des séducteurs, je réclame le droit d’avoir du pouvoir dans mon travail sans faire peur aux hommes. Je réclame le droit d’être draguée avec maladresse, insistance et d’appeler cela « importuner » si je le veux » commence la réalisatrice et actrice.

« Je réclame le droit de ne pas être jugée si j’emploie des mots qui n’ont pas la même résonance que pour vous. Je réclame qu’on ne juge pas une femme si elle a eu besoin d’écrire un livre sur son histoire de harcèlement sexuel. Je réclame le droit qu’on ne juge pas une femme qui pense qu’on doit se débrouiller seule après un viol » poursuit-elle en faisant référence au clash entre Christine Angot et Sandrine Rousseau sur le plateau d’« On n’est pas couché ».

« Nous ne sommes pas tous égaux dans la douleur et dans la résilience et nous n’avons pas la même capacité mentale ou physique de nous remettre de nos traumatismes. Ne jugeons pas une femme qui aime la violence pendant qu’elle fait l’amour, ne jugeons pas une femme qui ne se remet pas d’une main aux fesses. Ne jugeons pas des femmes intellectuelles qui prennent la parole et bousculent nos mœurs. Par pitié, arrêtons de nous juger les unes les autres » lâche la réalisatrice de « Polisse » avant de fondre en larme, très émue, demandant à Léa Salamé si elle peut couper temporairement l’enregistrement.

« Quelque chose d’historique est en train de se jouer, en ce moment, alors soyons unies. Chacun doit pouvoir souffrir de ce qu’il veut, comme il veut et quand il veut. On va y arriver » conclut-elle lors d’une deuxième prise.

Snow、neige, nieve, neve, Schnee Japanese Lesson 1

2018年01月23日 08時47分00秒 | 語学
昨夕4時過ぎの横浜
あっという間にこんな感じに!


マニラの社員(フィリピン人5人)に日本語を覚えて貰おう
ということで、本日から真面目にレッスンをすることになりました

と言うのも、REAL4がJapanese のソフトなので、日本語は不可欠です
漢字も当然出てきます。

2年後には全員が、完璧な日本語を話せるようになることを願って
SKYPEを利用して日本語を学んでもらいたいと考えています

Lesson1
Hiragana - ひらがな

The first step to learning the Japanese language is to learn the alphabet. Or, at least, to learn the sounds that exist in the language. There are absolutely no "tones" in Japanese like in many other asian languages and there are only 2 exceptions within the alphabet which will be explained later. The Japanese alphabet does not contain letters but, instead, contains characters and, technically, they are not alphabets but character sets. The characters in the chart below are called Hiragana. Hiragana is the main alphabet or character set for Japanese. Japanese also consists of two other character sets - Kanji (Chinese characters), which we will get into later, and another alphabet/character set, Katakana, which is mainly used for foreign words. Katakana will be covered in Lesson 2. Don't wait to move on until you have all Hiragana characters memorized - learn them as you continue to go through the other lessons.

There are 5 vowels in Japanese. (a), pronounced "ahh", (i), pronounced like "e" in "eat", (u), pronounced like "oo" in "soon", (e), pronounced like "e" in "elk", and (o), pronounced "oh". All Hiragana characters end with one of these vowels, with the exception of (n). The only "consonant" that does not resemble that of English is the Japanese "r". It is slightly "rolled" as if it were a combination of a "d", "r", and "l".


a い
i う
u え
e お
o

ka き
ki く
ku け
ke こ
ko

ga ぎ
gi ぐ
gu げ
ge ご
go

sa し
shi す
su せ
se そ
so

za じ
ji ず
zu ぜ
ze ぞ
zo

ta ち
chi つ
tsu て
te と
to

da ぢ
ji づ
zu で
de ど
do

na に
ni ぬ
nu ね
ne の
no

ha ひ
hi ふ
fu へ
he ほ
ho

ba び
bi ぶ
bu べ
be ぼ
bo

pa ぴ
pi ぷ
pu ぺ
pe ぽ
po

ma み
mi む
mu め
me も
mo

ya ゆ
yu よ
yo

ra り
ri る
ru れ
re ろ
ro

wa を
wo ん
n/m

Combinations
きゃ
kya きゅ
kyu きょ
kyo
ぎゃ
gya ぎゅ
gyu ぎょ
gyo
しゃ
sha しゅ
shu しょ
sho
じゃ
ja じゅ
ju じょ
jo
ちゃ
cha ちゅ
chu ちょ
cho
にゃ
nya にゅ
nyu にょ
nyo
ひゃ
hya ひゅ
hyu ひょ
hyo
びゃ
bya びゅ
byu びょ
byo
ぴゃ
pya ぴゅ
pyu ぴょ
pyo
みゃ
mya みゅ
myu みょ
myo
りゃ
rya りゅ
ryu りょ
ryo



Here is a Printable Hiragana Chart (PDF - get Adobe Acrobat Reader).

Exceptions:
1. The Hiragana は (ha) is pronounced "wa" when it immediately follows the topic of the sentence. This character is usually only pronounced "ha" when it is part of a word.
2. The Hiragana へ (he) is pronounced "e" when it immediately follows a place or direction. Both of these are very simple to detect.

Click here if you'd like to know why these two exceptions exist.

Note: You probably noticed in the chart above that there are 2 characters pronounced "zu" and 2 characters pronounced "ji". The characters づ (zu) and ぢ (ji) are very rarely used. づ (zu) only occurs when there is a つ (tsu) in front of it like in つづく (tsuzuku - to continue) or when a Kanji (Chinese character) that has a reading which starts with つ (tsu) is paired at the end with another character changing the つ (tsu) to a づ (zu). The same applies for the Hiragana ぢ (ji). Since they are used so rarely I wouldn't worry about them too much. I will let you know whenever we come upon a word in which they are used.

Some people wonder why "yi", "ye", "wi", "wu", and "we" are missing. There aren't characters for "yi", "ye", or "wu". There is a ゐ (wi) and a ゑ (we) but these were deemed obsolete in 1946 and were replaced by い (i) and え (e) respectively.

終わり
如何でしょうか?