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説明

Nietzsche English

2019-09-10 08:14:13 | Nietzsche
Nietzsdhe's most general project is the introduction of the concepts of sense and value into philosophy. It is clear that modern philosophy has largely lived off Nietzsche. But not perhaps in the way in which he would have wished. Nietzsche made no secret of the fact that the philosophy of sense and values had to be a critique. One of the principal motifs of Nietzsche's work is that Kant had not carried out a true critique because he was not able to pose the problem of critique in terms of values. And what has happened in modern philosophy is that the theory of values has given rise to a new conformism and new forms of submission. Even the phenomenological apparatus has contributed to placing the Nietzschean inspiration, which is often present in phenomenology, at the service of modern conformism. But, with Nietzsche, we must begin from the fact that the philosophy of values as envisaged and established by him is the true realisation of critique and the only way in which a total critique may be realised, the only way to "philosophise with a hammer". In fact, the notion of value implies acritkal reversal. On the one hand, values appear or are given as principles: and evaluation presupposes values on the basis of which phenomena are appraised. But, on the other hand and more pro- foundly, it is values which presuppose evaluations, "perspectives of appraisal", from which their own value is derived. The problem of critique is that of the value of values, of the evaluation from which their value arises, thus the problem of their creation. Evaluation is defined as the differential element of corresponding values, an ele-
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ment which is both critical and creative. * Evaluations, in essence, are
not values but ways of being, modes


Baumgarten, Frau Marie. Wife of a well-known manufacturer in Lorrach in Baden. She translated "Thoughts Out of Season" parts 3 and 4, into French, but only "Richard Wagner á Bayreuth" actually appeared. She died in 1897.

eSports

2019-09-10 02:37:39 | Olympics
日本eスポーツ連合 - Wikipedia

2018年5月7日、日本eスポーツリーグ協会(JeSA)が設立[26]されたことで、JeSUは国内唯一の統括団体という名目を失う


国際マインドスポーツ協会 - Wikipedia

国際ポーカー連盟(IFP)と世界シャンチー連合会(WXF)はオブザーバーである。2016年には国際麻雀連盟(MIL)がオブザーバー参加した


日本頭脳スポーツ協会 - Wikipedia

2002年 設立

2020 Summer Olympics Tokyo

2019-09-10 02:07:57 | Olympics
「規定演技」と「自由演技」との総合得点で競われていましたが、1996年アトランタ大会を最後に規定演技が廃止され、現在は、自由演技だけ

「新体操」は、個人競技が1984年ロサンゼルス大会
団体競技は、1996年アトランタ大会

「トランポリン」は、2000年シドニー大会から https://www.2020games.metro.tokyo.lg.jp/taikaijyunbi/taikai/syumoku/games-olympics/gymnastics/index.html…

2020年東京オリンピックの体操競技 - Wikipedia

体操競技団体は前回リオ大会まで5人まで出場が認めていたが今大会では4人に減らされた


日本体操協会 - Wikipedia

2012年4月 - 日本トランポリン協会を編入


国際体操連盟 - Wikipedia

男女の体操競技、新体操、トランポリン、エアロビック、スポーツ・アクロバット、パルクール
2019年からはそれまで存在されなかったジュニア世代の世界選手権の開催が行われるようになった。

オリンピック競技:体操|東京オリンピック・パラリンピック競技大会組織委員会

女子は、東京1964大会の団体総合で銅メダル。リオデジャネイロ2016大会では48年ぶりに入賞(4位)を果たし、近年健闘が目立つ。 https://tokyo2020.org/jp/games/sport/olympic/gymnastics/…


全日本体操競技選手権大会 - Wikipedia

女子は同24名が決勝へ進出する。決勝上位は国際大会の最終選考会を兼ねるNHK杯に進出する



豊田国際体操競技大会
毎年12月に愛知県豊田市の豊田市総合体育館(スカイホール豊田)

豊田市・豊田市教育委員会・中日新聞社主催、日本体操協会共催

この大会は元々、1970年より2004年大会を最後に休止。その後、3年の休止を経て



2020年東京オリンピックのスポーツクライミング競技 - Wikipedia
大会は江東区にある青海アーバンスポーツ会場で男女複合(スピード・ボルダリング・リード)が実施される。男女20名ずつの40名が出場する
1国最大2名まで出場できるが、開催国日本は最低1名出場保証されている

2001- Brooke Raboutou grimpeuse franco-américaine



フリークライミング - Wikipedia
2007国際オリンピック委員会(IOC)は国際スポーツクライミング連盟を仮承認した。のちに正承認となりスポーツクライミングはIOCの承認競技(recognized sports)
2020年東京オリンピックにおいて開催都市提案の追加種目として採用



IOC承認国際競技団体連合 - Wikipedia

ダンススポーツ(ブレイキンを含む): 世界ダンススポーツ連盟 (WDSF) web
チアリーディング: 国際チア連合 (ICU) web 2016年12月、IOCに承認された


Category:日本開催の国際総合スポーツ競技大会 - Wikipedia

2026年アジア競技大会

Nietzsche

2019-09-10 00:22:36 | Nietzsche
En ce jour parfait où tout arrive à maturité un rayon de soleil vient de tomber sur ma vie. J’ai regardé derrière et devant moi. Jamais je ne vis autant de bonnes choses à la fois. Ce n’est pas en vain que j’ai enterré aujourd’hui ma quarante quatrième année, car j’avais le droit de l’enterrer, ce qui en elle était viable a pu être sauvé, est devenu immortel.
Le premier livre de la Transmutation de toutes les Valeurs
ma tentative de philosopher à coups de marteau
Crépuscule des Idole
tout cela ce sont des cadeaux que m’a fait cette année. Pourquoi ne serais je pas reconnaissant à ma vie tout entière.
C’est pourquoi je me raconte ma vie à moi même.


La découverte de la morale chrétienne est un événement qui n’a pas son égal, une véritable catastrophe. Celui qui donne des éclaircissements à son sujet est une force majeure une fatalité il brise l’histoire de l’humanité en deux tronçons. On vit avant lui, on vit après lui.


Pour la nouvelle année. — Je vis encore, je pense encore : il faut encore que je vive, car il faut encore que je pense. Sum, ergo cogito : cogito, ergo sum. Aujourd’hui je permets à tout le monde d’exprimer son désir et sa pensée la plus chère : et, moi aussi, je vais dire ce qu’aujourd’hui je souhaite de moi-même et quelle est la pensée que, cette année, j’ai prise à cœur la première — quelle est la pensée qui devra être dorénavant pour moi la raison, la garantie et la douceur de vivre ! Je veux apprendre toujours davantage à considérer comme la beauté ce qu’il y a de nécessaire dans les choses : c’est ainsi que je serai de ceux qui rendent belles les choses. Amor fati : que cela soit dorénavant mon amour. Je ne veux pas entrer en guerre contre la laideur. Je ne veux pas accuser, je ne veux même pas accuser les accusateurs. Détourner mon regard, que ce soit là ma seule négation ! Et, somme toute, pour voir grand : je veux, quelle que soit la circonstance, n’être une fois qu’affirmateur !


In media vita. — Non ! La vie ne m’a pas déçu ! Je la trouve au contraire d’année en année plus riche, plus désirable et plus mystérieuse, — depuis le jour où m’est venue la grande libératrice, cette pensée que la vie pouvait être une expérience de celui qui cherche la connaissance — et non un devoir, non une fatalité, non une duperie ! — Et la connaissance elle-même : que pour d’autres elle soit autre chose, par exemple un lit de repos, ou bien le chemin qui mène au lit de repos, ou bien encore un divertissement ou une flânerie, pour moi elle est un monde de dangers et de victoires, où les sentiments héroïques eux aussi ont leur place de danses et de jeux. « La vie est un moyen de la connaissance » — avec ce principe au cœur on peut non seulement vivre avec bravoure, mais encore vivre avec joie, rire de joie ! Et comment s’entendrait-on à bien rire et à bien vivre, si l’on ne s’entendait pas d’abord à la guerre et à la victoire ?


En cet endroit où je parle des récréations de ma vie, il faut que je dise un mot pour exprimer ma reconnaissance envers ce qui m’a toujours et de tous temps récréé le plus profondément et le plus cordialement. Sans aucun doute, ce furent mes relations intimes avec Richard Wagner. Je fais bon marché de tous mes autres rapports avec les hommes. À aucun prix je ne voudrais effacer de ma vie les journées passées à Triebschen, des journées de confiance, hasards sublimes, moments profonds. Je ne sais pas ce qui est arrivé à d’autres avec Wagner, au-dessus de notre ciel jamais un nuage n’a passé.


Le mérite seul de compter parmi ceux qui prêtent l’oreille à cette voix nous accordera aussi le grand regard dont nous avons besoin pour contempler l’évènement de Bayreuth ; et de ce regard seul dépend le grand avenir de cet évènement.

Lorsqu’en ce jour de Mai de l’année 1872 la pierre fondamentale eut été posée sur la colline de Bayreuth, le ciel était sombre et la pluie tombait par torrents ; Wagner monta en voiture avec quelques-uns de nous pour regagner la ville ; il se taisait, et son long regard, qui semblait replié sur lui-même, lui donnait une expression que les paroles ne sauraient rendre. Ce jour là, il entrait dans sa soixantième année, et tout ce qui l’avait précédée n’avait servi qu’a préparer cette heure. On sait qu’au moment d’un grand danger ou d’une décision importante pour leur existence, certains individus peuvent, au moyen d’une vue intérieure infiniment accélérée, faire repasser devant eux leur vie entière et en reconnaître avec une rare précision les détails les plus éloignés comme les plus rapprochés. Qui pourrait nous dire ce qui se déroula devant l’imagination d’Alexandre-le-Grand lorsqu’il fit boire l’Asie et l’Europe dans la même coupe ? Mais ce que Wagner vit en lui-même en ce jour — comment il se développa, ce qu’il est, ce qu’il sera — nous, ses plus proches, nous pouvons jusqu’à un certain point le revoir une seconde fois ; et ce n’est qu’avec l’œil de Wagner que nous pourrons nous-mêmes comprendre sa grande œuvre, et, à l’aide de cette compréhension, nous porter garants de sa fécondité.


Ce livre appartient au plus petit nombre. Peut-être n’a-t-il pas encore trouvé son public.
Tout au plus me liront ceux qui comprennent mon Zarathoustra. Comment oserais-je me confondre avec ceux pour qui, aujourd’hui déjà, on a des oreilles ? — Après-demain seulement m’appartiendra. Quelques-uns naissent posthumes.
Je connais trop bien les conditions qu’il faut réaliser pour me comprendre, qui me font comprendre nécessairement. Il faut être intègre dans les choses de l’esprit, intègre jusqu’à la dureté pour pouvoir seulement supporter mon sérieux et ma passion. Il faut être habitué à vivre sur des montagnes, — à voir au-dessous de soi le pitoyable bavardage de la politique du jour et de l’égoïsme des peuples. Il faut que l’on soit devenu indifférent, il ne faut jamais demander si la vérité est utile, si elle peut devenir pour quelqu’un une destinée... Une prédilection des forts pour des questions que personne aujourd’hui n’a plus le courage d’élucider ; le courage du fruit défendu ; la prédestination du labyrinthe. Une expérience de sept solitudes. Des oreilles nouvelles pour une musique nouvelle. Des yeux nouveaux pour les choses les plus lointaines. Une conscience nouvelle pour des vérités restées muettes jusqu’ici. Et la volonté de l’économie de grand style : rassembler sa force, son enthousiasme... Le respect de soi-même ; l’amour de soi ; l‘absolue liberté envers soi-même...
Eh bien ! Ceux-là seuls sont mes lecteurs, mes véritables lecteurs, mes lecteurs prédestinés : qu’importe le reste ? — Le reste n’est que l’humanité. Il faut être supérieur à l’humanité en force, en hauteur d’âme, en mépris.


Je veux inscrire à tous les murs cette accusation éternelle contre le christianisme, partout où il y a des murs, — j’ai des lettres qui rendent voyants même les aveugles… J’appelle le christianisme l’unique grande calamité, l’unique grande perversion intérieure, l’unique grand instinct de haine qui ne trouve pas de moyen assez venimeux, assez souterrain, assez petit — je l’appelle l’unique et l’immortelle flétrissure de l’humanité…

Et l’on mesure le temps à partir du jour néfaste qui fut le commencement de cette destinée, — à partir du premier jour du christianisme ! — Pourquoi ne le mesurerait-on à partir de son dernier jour ? — À partir d’aujourd’hui — Transmutation de toutes les valeurs !…


Beethoven et Mozart. — La musique de Beethoven apparaît souvent comme une contemplation profondément émue à l’audition d’un morceau que l’on croyait perdu depuis longtemps, c’est « l’innocence dans les sons », une musique au sujet de la musique. La chanson du mendiant ou de l’enfant des rues, les motifs traînants des Italiens en voyage, les airs de danse des auberges de village ou des nuits de Carnaval, voilà les sources d’inspiration où Beethoven découvre ses « mélodies », il les amasse comme une abeille, en saisissant çà et là une note ou une courte suite. Ce sont pour lui des souvenirs transfigurés d’un « monde meilleur » : semblables à ce que Platon imaginait au sujet des idées. — Mozart est dans un rapport tout différent avec ses mélodies : il ne trouve pas ses inspirations en entendant de la musique, mais en regardant la vie, la vie la plus mouvementée des contrées méridionales : il rêvait toujours de l’Italie lorsqu’il n’y était pas.


Du principe de l’exécution musicale. — Les exécutants d’aujourd’hui croient-ils donc vraiment que c’est le commandement suprême de leur art de donner à chaque morceau autant de haut-relief que possible et de lui faire parler à tout prix un langage dramatique ? Appliqué, par exemple, à Mozart, n’est-ce pas là un véritable pêché contre l’esprit, l’esprit serein, ensoleillé, tendre et léger de Mozart, dont le sérieux est un sérieux bienveillant et non point un sérieux terrible, dont les images ne veulent pas sauter hors de leur cadre pour épouvanter et mettre en fuite celui qui les contemple ? Ou bien vous imaginez-vous que la musique de Mozart s’identifie à la musique du « Festin de Pierre » ? Et non seulement la musique de Mozart, mais toute espèce de musique ? — Mais vous répondez que le plus grand effet parle en faveur de votre principe — et vous auriez raison si l’on ne vous répliquait pas par une autre question : sur qui a-t-on voulu faire de l’effet, et sur qui un artiste noble a-t-il seulement le droit de vouloir faire de l’effet ? Jamais sur le peuple ! Jamais sur les êtres qui n’ont pas atteint leur maturité ! Jamais sur les êtres sensibles ! Jamais sur les êtres maladifs ! Mais avant tout : jamais sur les êtres émoussés !