Je te plains, je te pardonne tout, mais il faut nous quitter.
J'y deviendrais méchante.
Tu dis que cela vaudrait mieux et que je devrais te souffleter quand tu m'outrages.
Je ne sais pas lutter. Dieu m'a faite douce et cependant fière.
Mon orgueil est brisé à présent, et mon amour n'est plus que de la pitié.
Je te le dis, il faut en guérir.»
(George Sand à Alfred de Musset, 22 ou 23 février 1835)
- George Sand par Alfred de Musset. Collection Lovenjoul -