« Vivre ! que c’est doux ! Que c’est bon ! malgré les chagrins, les maris, l’ennui, les dettes, les parents, les cancans, malgré les poignantes douleurs et les fastidieuses tracasseries. Vivre ! c’est enivrant ! Aimer, être aimé ! c’est le bonheur ! c’est le Ciel ! Vous savez aimer aussi, vous. » (Correspondance, tome 1, p.921).
Cette lettre est écrite par George Sand le 19 juillet 1831 de Paris à son ami Charles Duvernetet non pas à Sainte-Beuve puisque, comme vous le remarquez, il n’y a pas de lettre au célèbre critique dans le premier tome de la Correspondance de Georges Lubin.
Cette lettre est écrite par l’auteur au moment où elle regagne la capitale pour la deuxième fois, selon l’accord passé avec son époux Casimir Dudevant, selon lequel elle passera alternativement 3 mois à Paris et 3 mois à Nohant.
Votre question met en évidence la tendance malheureuse de certains auteurs à reprendre les citations de l’auteur les uns des autres sans retourner à la source qui reste, bien entendu, la Correspondance générale éditée par Georges Lubin.
Bien à vous,
Cette lettre est écrite par George Sand le 19 juillet 1831 de Paris à son ami Charles Duvernetet non pas à Sainte-Beuve puisque, comme vous le remarquez, il n’y a pas de lettre au célèbre critique dans le premier tome de la Correspondance de Georges Lubin.
Cette lettre est écrite par l’auteur au moment où elle regagne la capitale pour la deuxième fois, selon l’accord passé avec son époux Casimir Dudevant, selon lequel elle passera alternativement 3 mois à Paris et 3 mois à Nohant.
Votre question met en évidence la tendance malheureuse de certains auteurs à reprendre les citations de l’auteur les uns des autres sans retourner à la source qui reste, bien entendu, la Correspondance générale éditée par Georges Lubin.
Bien à vous,