« Amies », Nouvelles Questions Féministes, Vol. 30, N°2 / 2011, octobre 2011
Le dernier numéro de Nouvelles Questions Féministes, dont la coordination a été assurée par Ellen Hertz, Hélène Martin, Françoise Messant, Christine Delphy, Hélène Füger et Alice Sala, s’annonce dès son thème comme une publication prometteuse.
Questions féministes (créée en 1977)fut une publication pionnière, « la plus ancienne des revues francophones des études qu’on a appelées féministes, et qu’on appelle aujourd’hui "de genre" ou "sur le genre" »
« Notre premier objectif avec ce numéro est donc de faire connaître à nos lectrices francophones le champ des études sur l’amitié (la « friendship research ») pratiquées dans des départements de Women’s studies et de Gender Studies en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis »
« Il est donc crucial de savoir si on accepte ou non de stigmatiser un groupe de femmes dans l’espoir – vain – d’en libérer un autre. Notre position a toujours été et reste que cela n’est pas acceptable, et pas féministe. »
« militer en vue d’éviter la guerre. Le féminisme était le seul type de discours où l’on pouvait assumer cette idée-là ouvertement. »
Le dernier numéro de Nouvelles Questions Féministes, dont la coordination a été assurée par Ellen Hertz, Hélène Martin, Françoise Messant, Christine Delphy, Hélène Füger et Alice Sala, s’annonce dès son thème comme une publication prometteuse.
Questions féministes (créée en 1977)fut une publication pionnière, « la plus ancienne des revues francophones des études qu’on a appelées féministes, et qu’on appelle aujourd’hui "de genre" ou "sur le genre" »
« Notre premier objectif avec ce numéro est donc de faire connaître à nos lectrices francophones le champ des études sur l’amitié (la « friendship research ») pratiquées dans des départements de Women’s studies et de Gender Studies en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis »
« Il est donc crucial de savoir si on accepte ou non de stigmatiser un groupe de femmes dans l’espoir – vain – d’en libérer un autre. Notre position a toujours été et reste que cela n’est pas acceptable, et pas féministe. »
« militer en vue d’éviter la guerre. Le féminisme était le seul type de discours où l’on pouvait assumer cette idée-là ouvertement. »