http://www.fabula.org/revue/document6697.php
Le romancier Philippe Vilain signe un essai sur Duras après trois autres consacrés à l’écriture de soi, abordée sous un angle ouvertement théorique (L’Autofiction en théorie) ou plus résolument personnel (Confession d’un timide)1, et dans lesquels il faisait déjà la part belle à l’œuvre de Duras. Une différence importante, cependant : ici, l’auteur ne délimite pas de périmètre de discussion ou de théorisation, alors que les ouvrages précédents questionnaient explicitement l’autofiction, le narcissisme de l’autobiographe, ou la timidité.
Le romancier Philippe Vilain signe un essai sur Duras après trois autres consacrés à l’écriture de soi, abordée sous un angle ouvertement théorique (L’Autofiction en théorie) ou plus résolument personnel (Confession d’un timide)1, et dans lesquels il faisait déjà la part belle à l’œuvre de Duras. Une différence importante, cependant : ici, l’auteur ne délimite pas de périmètre de discussion ou de théorisation, alors que les ouvrages précédents questionnaient explicitement l’autofiction, le narcissisme de l’autobiographe, ou la timidité.