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Le "Mur des idiots" de la Commission de régulation nucléaire laissé au pouvoir par le PDJ

2024年08月05日 15時26分36秒 | 全般
Voici un article que j'ai découvert en cherchant des informations sur l'article susmentionné de Yoshiko Sakurai, qui doit être lu par tous les citoyens japonais.
Le "mur des idiots" de la Commission de régulation nucléaire laissé par le Parti démocrate du Japon (PDJ) au pouvoir | Nobuo Ikeda | Chroniques | Newsweek Japan Official Site (newsweekjapan.jp)
Le "Mur des idiots" de la Commission de régulation nucléaire laissé au pouvoir par le PDJ
05 février 2014
Alors que l'ancien Premier ministre Hosokawa et d'autres candidats à l'élection du gouverneur de Tokyo appellent à " arrêter le redémarrage des centrales nucléaires ", la politique de l'administration Abe est de " redémarrer les centrales nucléaires jugées sûres par l'Autorité de régulation nucléaire ".
Cependant, comme nous l'avons écrit dans cette colonne, il n'existe pas d'examen du redémarrage.
La NRC procède à un examen de la sécurité des nouvelles normes réglementaires entrées en vigueur en 2013, indépendamment de l'exploitation des réacteurs.
L'examen de sûreté devrait être mené pendant que la centrale est en activité.
Cependant, dans le document intitulé "Basic Policy for Enforcement of New Nuclear Power Plant Regulations (private draft)", le président de la Commission de régulation, Shunichi Tanaka, déclare : "Au stade de l'application des nouvelles réglementations, toutes les fonctions nécessaires à la prévention des accidents de dimensionnement et des accidents graves (y compris ceux causés par des catastrophes naturelles de grande ampleur et par le terrorisme) doivent être assurées. Les centrales nucléaires qui ne répondent pas aux critères de la réglementation sont considérées comme ne remplissant pas les conditions préalables à la reprise de l'exploitation".
Les nouveaux règlements (normes de sécurité) sont entrés en vigueur en juillet 2013. Pourtant, aucune centrale nucléaire ne "dispose de toutes les fonctions nécessaires" à ce stade et ne remplit donc les conditions préalables à la reprise de l'exploitation.
En d'autres termes, la Commission de régulation doit exiger de la centrale qu'elle dépose une nouvelle demande d'autorisation d'installation en partant de zéro et qu'elle fasse l'objet d'un examen, et tant que cela n'est pas fait, elle ne peut pas être exploitée.
Pour simplifier, je prendrai l'exemple d'un bâtiment.
Supposons que votre maison ait 40 ans et qu'elle doive répondre aux normes de résistance aux tremblements de terre prévues par la loi sur les normes de construction.
Un jour, un fonctionnaire viendra vous voir et vous dira : "À partir d'aujourd'hui, nous exigerons que toutes les maisons, où qu'elles se trouvent, répondent à toutes les normes de résistance aux tremblements de terre nécessaires. Si vous ne réussissez pas cet examen, vous serez expulsé". Vous serez sans abri.
C'est ce dont parle M. Tanaka.
La Constitution interdit l'application rétroactive de nouvelles lois, mais dans le cas des centrales nucléaires, l'application rétroactive de nouvelles normes peut être autorisée sous conditions.
La loi prévoit des exceptions uniquement lorsque l'intérêt public à renforcer la sécurité dépasse les dommages subis par la compagnie d'électricité.
La proposition de Tanaka, cependant, rend toutes les centrales nucléaires illégales sans aucune considération ou action légale.
De plus, cette proposition privée est un mémo qui ne fait même pas partie des règles de la commission.
La Commission de régulation peut faire ce qu'elle veut si une telle orientation administrative arbitraire est autorisée.
Si elle veut déclasser une centrale nucléaire appartenant à une compagnie d'électricité qu'elle n'aime pas, elle peut créer une norme de sécurité qui constituerait une violation et déclarer : "À partir de ce jour, vous êtes en violation".
Lorsque j'ai montré le plan privé de Tanaka à d'anciens fonctionnaires, ils ont tous été surpris.
Il ne s'agit même pas d'un document public.
Le président Tanaka, qui vient d'un département d'ingénierie, ne sait peut-être pas que l'ajustement au dos est une réglementation dangereuse qui frise la violation de la Constitution.
Ce n'était pas son idée personnelle, mais elle reflétait la volonté de l'administration DPJ de l'époque.
Dans une interview accordée au Hokkaido Shimbun le 30 avril dernier, l'ancien Premier ministre Kan a répondu.
Si vous demandez si [les centrales nucléaires] reviendront à leur état antérieur, la réponse est non.
Il est impossible que 10 ou 20 réacteurs soient redémarrés.
Le PDJ a laissé en place un système qui ne reviendra pas à la normale aussi rapidement.
Le symbole en est l'Autorité de régulation nucléaire, créée par la destruction de l'Agence de sûreté nucléaire et industrielle.
[Le PDL a également soutenu la mise en place d'une autorité de régulation nucléaire.]
Le PLD a également soutenu la création d'une Commission de régulation nucléaire indépendante.
Il n'est plus possible de revenir en arrière.
Comme il le dit, la Commission de régulation nucléaire est une commission hautement indépendante au sens de l'article 3 (une commission ayant le même statut que les ministères, comme le stipule l'article 3 de la loi sur l'organisation du gouvernement national), de sorte qu'aucune agence gouvernementale ne peut y toucher.
Comme les vastes ressources humaines de Kasumigaseki ne sont pas disponibles, les membres de la commission sont des "magasins privés" et font ce qu'ils veulent.
La Commission de régulation est un "mur d'idiots" laissé par le PDJ pour protéger le "zéro nucléaire" même après son départ du pouvoir.
Le PLD a également donné son accord, car Yasuhisa Shiozaki, membre du PLD, a rédigé la loi portant création de la commission.
Les groupes antinucléaires ont également approuvé son idée de créer une version japonaise de la NRC, mais le METI n'a pas coopéré.
Par conséquent, Shiozaki, qui ne savait pas rédiger des lois, a confié la création du CNR à une entreprise privée.
Il est communément admis au Japon qu'un comité administratif indépendant composé d'experts ne peut pas fonctionner parce que les connaissances sont stockées dans des organisations. Pourtant, la Commission de régulation a prouvé de manière spectaculaire que c'était le cas.
Entre-temps, 10 milliards de yens de coûts de combustible sont perdus chaque jour et l'économie japonaise s'effondre.
Le cabinet du premier ministre commence à penser qu'il faut faire quelque chose, mais il doit ignorer le plan privé de Tanaka.
Aucune loi ou décision du cabinet n'est nécessaire pour cela.
Il suffit que le Premier ministre Abe tienne une conférence de presse et dise : "À partir d'aujourd'hui, veuillez faire fonctionner les centrales nucléaires conformément à la loi".


30/07/2024 à Onomichi
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Die von der DPJ an der Macht belassene "Mauer von Idioten" der Atomaufsichtsbehörde

2024年08月05日 15時24分31秒 | 全般
Im Folgenden finden Sie einen Artikel, den ich bei der Suche nach Informationen über den oben genannten Artikel von Yoshiko Sakurai gefunden habe, der für alle japanischen Bürger ein Muss ist.
Die von der Demokratischen Partei Japans (DPJ) in der Regierung hinterlassene "Mauer von Idioten" der Atomaufsichtsbehörde | Nobuo Ikeda | Kolumnen | Newsweek Japan Official Site (newsweekjapan.jp)
Die von der DPJ an der Macht belassene "Mauer von Idioten" der Atomaufsichtsbehörde
February 05, 2014
Während der ehemalige Premierminister Hosokawa und andere Kandidaten für die Gouverneurswahlen in Tokio einen "Stopp der Wiederinbetriebnahme von Kernkraftwerken" fordern, besteht die Politik der Abe-Regierung darin, "Kernkraftwerke wieder in Betrieb zu nehmen, die von der Atomaufsichtsbehörde als sicher eingestuft werden".
Wie wir jedoch in dieser Kolumne geschrieben haben, gibt es so etwas wie eine Überprüfung der Wiederinbetriebnahme nicht.
Was die NRC tut, ist eine Sicherheitsüberprüfung der neuen, 2013 in Kraft getretenen Regulierungsstandards, die vom Betrieb der Reaktoren getrennt ist.
Die Sicherheitsüberprüfung sollte während des Betriebs der Anlage durchgeführt werden.
In der "Basic Policy for Enforcement of New Nuclear Power Plant Regulations (Private Draft)" erklärt der Vorsitzende der Regulierungskommission, Shunichi Tanaka, jedoch: "In der Phase der Durchsetzung der neuen Vorschriften müssen alle notwendigen Funktionen zur Verhinderung von Auslegungsstörfällen und schweren Unfällen (einschließlich solcher, die durch große Naturkatastrophen und Terrorismus verursacht werden) bereitgestellt werden. Bei Kernkraftwerken, die die Kriterien der Vorschriften nicht erfüllen, wird davon ausgegangen, dass sie die Voraussetzungen für die Wiederaufnahme des Betriebs nicht erfüllen", heißt es darin.
Die neuen Vorschriften (Sicherheitsstandards) traten im Juli 2013 in Kraft. Dennoch verfügt zum jetzigen Zeitpunkt kein Kernkraftwerk über alle erforderlichen Funktionen" und erfüllt somit nicht die Voraussetzungen für die Wiederaufnahme des Betriebs.
Mit anderen Worten: Die Aufsichtsbehörde muss das Kraftwerk von Grund auf neu beantragen und überprüfen lassen, und solange das nicht geschehen ist, kann es nicht betrieben werden.
Lassen Sie mich der Einfachheit halber ein Beispiel aus dem Bauwesen verwenden.
Nehmen wir an, Ihr Haus ist 40 Jahre alt und muss die Erdbebensicherheitsstandards des Baunormengesetzes erfüllen.
Eines Tages kommt ein Regierungsbeamter zu Ihnen und sagt: "Von heute an werden wir von allen Häusern überall verlangen, dass sie die erforderlichen Erdbebennormen erfüllen, also reichen Sie Ihr Haus bitte erneut zur Bauzertifizierung ein. Wenn Sie diese Prüfung nicht bestehen, werden Sie zwangsgeräumt." Sie werden obdachlos sein.
Das ist es, was Herr Tanaka meint.
Die Verfassung verbietet eine solche rückwirkende Anwendung neuer Gesetze, aber im Falle von Kernkraftwerken kann die Nachrüstung neuer Normen unter bestimmten Bedingungen erlaubt werden.
Das Gesetz sieht Ausnahmen nur dann vor, wenn das öffentliche Interesse an der Erhöhung der Sicherheit den Schaden für das Energieunternehmen übersteigt.
Der Vorschlag von Tanaka macht jedoch alle Kernkraftwerke ohne eine solche Prüfung oder rechtliche Schritte illegal.
Außerdem handelt es sich bei diesem privaten Vorschlag um ein Memo, das nicht einmal Teil der Regeln des Ausschusses ist.
Die Regulierungskommission kann machen, was sie will, wenn solche willkürlichen administrativen Vorgaben erlaubt sind.
Wenn sie ein Kernkraftwerk stilllegen will, das einem Energieversorger gehört, den sie nicht mag, kann sie eine Sicherheitsnorm aufstellen, die dies zu einem Verstoß macht, und erklären: "Von heute an sind Sie ein Verstoß.
Als ich den ehemaligen Bürokraten Tanakas privaten Plan zeigte, waren sie alle überrascht.
Es ist nicht einmal ein öffentliches Dokument.
Der Vorsitzende Tanaka, der aus einer Ingenieursabteilung kommt, weiß vielleicht nicht, dass die Rückenbeschläge eine gefährliche Regelung sind, die an eine Verletzung der Verfassung grenzt.
Es war nicht seine persönliche Idee, sondern spiegelte den Willen der damaligen DPJ-Regierung wider.
In einem Interview mit der Hokkaido Shimbun vom 30. April antwortete der ehemalige Premierminister Kan.
Wenn Sie fragen, ob [die Kernkraftwerke] zu ihrem früheren Zustand zurückkehren werden, lautet die Antwort nein.
Es ist unmöglich, dass 10 oder 20 Reaktoren wieder in Betrieb genommen werden.
Die DPJ hat ein System hinterlassen, das sich nicht so schnell wieder normalisieren wird.
Das Symbol dafür ist die Atomaufsichtsbehörde, die durch die Zerschlagung der Behörde für nukleare und industrielle Sicherheit geschaffen wurde.
[Auslassung]
Die LDP unterstützte auch die Einrichtung einer unabhängigen Kommission für die Regulierung von Kernkraftwerken.
Das kann jetzt nicht mehr rückgängig gemacht werden.
Wie er sagt, handelt es sich bei der Atomaufsichtsbehörde um eine hochgradig unabhängige Kommission gemäß Artikel 3 (eine Kommission mit demselben Status wie die Ministerien gemäß Artikel 3 des Gesetzes über die Organisation der nationalen Regierung), so dass keine Regierungsbehörde sie antasten kann.
Da die enormen Humanressourcen von Kasumigaseki nicht zur Verfügung stehen, sind die Ausschussmitglieder "private Geschäfte" und machen, was sie wollen.
Die Regulierungskommission ist eine "Mauer von Idioten", die von der DPJ zurückgelassen wurde, um die "Null-Atomkraft" zu schützen, selbst nachdem sie die Macht abgegeben hatte.
Die LDP stimmte ebenfalls zu, da Yasuhisa Shiozaki von der LDP das Gesetz zur Einrichtung der Kommission geschrieben hat.
Anti-Atomkraft-Gruppen waren auch mit seiner Idee einverstanden, eine japanische Version der NRC zu schaffen, aber das METI arbeitete nicht mit.
Daher gab Shiozaki, der keine Gesetze schreiben konnte, das Gesetz an ein privates Unternehmen weiter, um die NRC einzurichten.
In Japan herrscht die Meinung vor, dass ein unabhängiger Verwaltungsausschuss von Experten nicht funktionieren kann, weil das Wissen in Organisationen gespeichert ist. Doch die Regulierungskommission hat dies auf spektakuläre Weise bewiesen.
Inzwischen gehen täglich 10 Milliarden Yen an Brennstoffkosten verloren, und die japanische Wirtschaft sinkt.
Das Büro des Premierministers hat begonnen zu denken, dass etwas getan werden muss, aber sie müssen Tanakas privaten Plan ignorieren.
Dafür ist weder ein Gesetz noch ein Kabinettsbeschluss erforderlich.
Premierminister Abe braucht nur eine Pressekonferenz abzuhalten und zu sagen: "Bitte betreiben Sie die Kernkraftwerke ab heute gemäß den gesetzlichen Bestimmungen.


30.7.2024 in Onomichi
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El "muro de idiotas" de la Comisión Reguladora Nuclear que ha dejado en el poder el PDJ

2024年08月05日 15時22分25秒 | 全般

El siguiente es un artículo que descubrí mientras buscaba información sobre el mencionado artículo de Yoshiko Sakurai, de lectura obligada para todos los ciudadanos japoneses.
El "Muro de Idiotas" de la Comisión Reguladora Nuclear dejado en el poder por el Partido Democrático de Japón (PDJ) | Nobuo Ikeda | Columnas | Newsweek Japan Official Site (newsweekjapan.jp)
El "muro de idiotas" de la Comisión Reguladora Nuclear que ha dejado en el poder el PDJ
05 de febrero de 2014
Mientras que el ex primer ministro Hosokawa y otros en las elecciones a gobernador de Tokio piden "detener el reinicio de las centrales nucleares", la política del gobierno de Abe es "reiniciar las centrales nucleares consideradas seguras por la Autoridad de Regulación Nuclear".
Sin embargo, como escribimos en esta columna, no existe tal cosa como una revisión del reinicio.
Lo que la NRC está haciendo es una revisión de seguridad de las nuevas normas reguladoras que entraron en vigor en 2013, que es independiente del funcionamiento de los reactores.
La revisión de seguridad debería realizarse mientras la central está en funcionamiento.
Sin embargo, en la "Política básica para la aplicación de la nueva normativa sobre centrales nucleares (borrador privado)", el presidente de la Comisión Reguladora, Shunichi Tanaka, afirma: "En la fase de aplicación de la nueva normativa, se exigen todas las funciones necesarias para la prevención de accidentes base de diseño y la prevención de accidentes graves (incluidos los causados por desastres naturales a gran escala y terrorismo). Se considera que las centrales nucleares que no cumplan los criterios de la normativa no reúnen las condiciones previas para reanudar su funcionamiento", dice.
La nueva normativa (normas de seguridad) entró en vigor en julio de 2013. Aun así, ninguna central nuclear "dispone de todas las funciones necesarias" en este momento y, por tanto, no cumple las condiciones previas para reanudar la explotación.
En otras palabras, la Comisión Reguladora debe hacer que la central solicite un nuevo permiso de instalación desde cero y se someta a una revisión, y hasta que eso no se complete, no puede funcionar.
Permítanme utilizar un ejemplo de construcción para simplificar.
Supongamos que su casa tiene 40 años y debe cumplir las normas de resistencia antisísmica de la Ley de Normas de Edificación.
Un día, un funcionario del gobierno vendrá y le dirá: "A partir de hoy, exigiremos que todas las casas de cualquier lugar cumplan todas las normas de resistencia antisísmica necesarias, así que le rogamos que vuelva a someter su casa a la certificación de construcción". Hasta que no pase esa revisión, será desalojada". Se quedarán sin casa.
A eso se refiere el Sr. Tanaka.
La Constitución prohíbe la aplicación retroactiva de nuevas leyes, pero en el caso de las centrales nucleares, la aplicación retroactiva de nuevas normas puede permitirse condicionalmente.
La ley especifica excepciones sólo cuando el interés público en mejorar la seguridad supera el perjuicio para la compañía eléctrica.
La propuesta de Tanaka, sin embargo, convierte en ilegales todas las centrales nucleares sin necesidad de tal consideración o acción legal.
Además, esta propuesta privada es un memorándum que ni siquiera forma parte del reglamento de la comisión.
La Comisión Reguladora puede hacer lo que quiera si se permite una orientación administrativa tan arbitraria.
Si quieren desmantelar una central nuclear propiedad de una compañía eléctrica que no les gusta, pueden crear una norma de seguridad que lo convierta en una infracción y declarar: "A partir de hoy, están ustedes en infracción".
Cuando mostré el plan privado de Tanaka a antiguos burócratas, todos se quedaron sorprendidos.
Ni siquiera es un documento público.
Es posible que el presidente Tanaka, que procede de un departamento de ingeniería, no sepa que el ajuste trasero es una normativa peligrosa que roza la violación de la Constitución.
No fue idea suya personal, sino que reflejaba la voluntad de la entonces administración del PDJ.
En una entrevista concedida al Hokkaido Shimbun el pasado 30 de abril, el ex primer ministro Kan respondió.
Si se pregunta si [las centrales nucleares] volverán a su estado anterior, la respuesta es no.
Es imposible que se vuelvan a poner en marcha 10 ó 20 reactores.
El PDJ dejó en marcha un sistema que no volverá a la normalidad tan rápidamente.
El símbolo de ello es la Autoridad de Regulación Nuclear, que se creó destruyendo la Agencia de Seguridad Nuclear e Industrial.
[Omitido]
El PLD también apoyó la creación de una Comisión de Regulación Nuclear independiente.
No se puede deshacer ahora.
Como él dice, la Comisión de Regulación Nuclear es una comisión altamente independiente del Artículo 3 (una comisión con el mismo estatus que los ministerios según lo estipulado en el Artículo 3 de la Ley de Organización del Gobierno Nacional), por lo que ninguna agencia gubernamental puede tocarla.
Al no disponer de los vastos recursos humanos de Kasumigaseki, los miembros de la comisión son "tiendas privadas" y hacen lo que les da la gana.
La Comisión Reguladora es un "muro de idiotas" dejado por el PDJ para proteger la "energía nuclear cero" incluso después de que ellos dejaran el poder.
El PLD también estuvo de acuerdo porque Yasuhisa Shiozaki, del PLD, redactó la ley por la que se creó la comisión.
Los grupos antinucleares también estuvieron de acuerdo con su idea de crear una versión japonesa de la NRC, pero el METI no cooperó.
Por ello, Shiozaki, que no sabía redactar leyes, encargó a una empresa privada la creación de la NRC.
Es creencia común en Japón que un comité administrativo independiente de expertos no puede funcionar porque el conocimiento se almacena en las organizaciones. Sin embargo, la Comisión Reguladora demostró espectacularmente que esto es cierto.
Mientras tanto, cada día se pierden 10.000 millones de yenes en costes de combustible y la economía japonesa se hunde.
La oficina del primer ministro ha empezado a pensar que hay que hacer algo, pero deben ignorar el plan privado de Tanaka.
No se necesita ninguna ley ni decisión del gabinete para ello.
Lo único que tiene que hacer el primer ministro Abe es dar una rueda de prensa y decir: "A partir de hoy, por favor, hagan funcionar las centrales nucleares de acuerdo con la ley".




2024/7/30 in Onomichi

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La Commissione di regolamentazione nucleare "muro di idioti" lasciata al potere dal DPJ

2024年08月05日 15時14分57秒 | 全般
Il seguente è un articolo che ho scoperto mentre cercavo informazioni sul già citato articolo di Yoshiko Sakurai, che è una lettura obbligata per tutti i cittadini giapponesi.
 (DIl "muro di idioti" della Commissione di regolamentazione nucleare lasciato dal Partito Democratico del GiapponePJ) al governo | Nobuo Ikeda | Columns | Newsweek Japan Official Site (newsweekjapan.jp)
La Commissione di regolamentazione nucleare "muro di idioti" lasciata al potere dal DPJ
05 febbraio 2014
Mentre l'ex primo ministro Hosokawa e altri candidati alle elezioni governative di Tokyo chiedono di "fermare il riavvio delle centrali nucleari", la politica dell'amministrazione Abe è quella di "riavviare le centrali nucleari ritenute sicure dall'Autorità di regolamentazione nucleare".
Tuttavia, come abbiamo scritto in questa rubrica, non esiste una revisione del riavvio.
Quello che la NRC sta facendo è una revisione della sicurezza dei nuovi standard normativi entrati in vigore nel 2013, che è separata dal funzionamento dei reattori.
La revisione della sicurezza dovrebbe essere condotta mentre l'impianto è in funzione.
Tuttavia, nella "Politica di base per l'applicazione dei nuovi regolamenti sulle centrali nucleari (bozza privata)", il presidente della Commissione di regolamentazione Shunichi Tanaka afferma: "Nella fase di applicazione dei nuovi regolamenti, è necessario fornire tutte le funzioni necessarie per la prevenzione degli incidenti di progettazione e degli incidenti gravi (compresi quelli causati da disastri naturali su larga scala e dal terrorismo). Si ritiene che le centrali nucleari che non soddisfano i criteri della normativa non soddisfino i prerequisiti per la ripresa dell'attività".
I nuovi regolamenti (standard di sicurezza) sono entrati in vigore nel luglio 2013. Tuttavia, in questa fase nessuna centrale nucleare "ha tutte le funzioni necessarie" e quindi non soddisfa i prerequisiti per la ripresa dell'attività.
In altre parole, la Commissione di regolamentazione deve far sì che l'impianto richieda un'autorizzazione per una nuova installazione da zero e si sottoponga a una revisione, e finché non sarà completata non potrà essere messo in funzione.
Per semplicità, vorrei fare un esempio edilizio.
Supponiamo che la vostra casa abbia 40 anni e che debba soddisfare gli standard di resistenza ai terremoti previsti dalla Legge sugli standard edilizi.
Un giorno, un funzionario del governo verrà da voi e vi dirà: "Da oggi in poi, richiederemo a tutte le case di tutto il mondo di soddisfare tutti gli standard di resistenza ai terremoti necessari, quindi vi preghiamo di sottoporre nuovamente la vostra casa alla certificazione edilizia". Finché non supererà questa verifica, sarà sfrattata". Sarete senza casa.
Questo è ciò di cui parla il signor Tanaka.
La Costituzione proibisce l'applicazione retroattiva di nuove leggi, ma nel caso delle centrali nucleari, l'applicazione retroattiva di nuovi standard può essere consentita a determinate condizioni.
La legge specifica le eccezioni solo quando l'interesse pubblico a migliorare la sicurezza supera il danno per la società elettrica.
La proposta di Tanaka, invece, rende illegali tutte le centrali nucleari senza alcuna considerazione o azione legale.
Inoltre, questa proposta privata è una nota che non fa nemmeno parte delle regole della commissione.
La Commissione di regolamentazione può fare tutto ciò che vuole se si permette una guida amministrativa così arbitraria.
Se vuole smantellare una centrale nucleare di proprietà di una società elettrica che non le piace, può creare uno standard di sicurezza che la renda una violazione e dichiarare: "Da oggi in poi, siete in violazione".
Quando ho mostrato il piano privato di Tanaka agli ex burocrati, sono rimasti tutti sorpresi.
Non è nemmeno un documento pubblico.
Il presidente Tanaka, che proviene da un dipartimento di ingegneria, forse non sa che il montaggio posteriore è un regolamento pericoloso che rasenta la violazione della Costituzione.
Non è stata una sua idea personale, ma ha rispecchiato la volontà dell'allora amministrazione del DPJ.
In un'intervista rilasciata all'Hokkaido Shimbun lo scorso 30 aprile, l'ex Primo Ministro Kan ha risposto.
Se si chiede se [le centrali nucleari] torneranno al loro stato precedente, la risposta è no.
Non è possibile che 10 o 20 reattori vengano riavviati.
Il DPJ ha lasciato in piedi un sistema che non tornerà alla normalità così rapidamente.
Il simbolo di questo è l'Autorità di regolamentazione nucleare, creata distruggendo l'Agenzia per la sicurezza nucleare e industriale.
[Omissis]
Anche l'LDP ha sostenuto l'istituzione di una Commissione indipendente per la regolamentazione del nucleare.
Ora non è più possibile annullarla.
Come egli afferma, la Commissione per la regolamentazione nucleare è una commissione indipendente ai sensi dell'articolo 3 (una commissione con lo stesso status dei ministeri, come stabilito dall'articolo 3 della Legge sull'organizzazione del governo nazionale), quindi nessuna agenzia governativa può toccarla.
Poiché le vaste risorse umane di Kasumigaseki non sono disponibili, i membri della commissione sono "negozi privati" e fanno quello che vogliono.
La Commissione di regolamentazione è un "muro di idioti" lasciato dal DPJ per proteggere il "nucleare zero" anche dopo aver lasciato il potere.
Anche l'LDP è d'accordo, perché Yasuhisa Shiozaki dell'LDP ha scritto la legge che istituisce la commissione.
Anche i gruppi antinucleari erano d'accordo con la sua idea di creare una versione giapponese dell'NRC, ma il METI non ha collaborato.
Pertanto, Shiozaki, che non era in grado di scrivere leggi, ha affidato la creazione della NRC a una società privata.
È convinzione comune in Giappone che un comitato amministrativo indipendente di esperti non possa funzionare perché la conoscenza è conservata nelle organizzazioni. Tuttavia, la Commissione di regolamentazione ha dimostrato in modo spettacolare che ciò è vero.
Nel frattempo, ogni giorno si perdono 10 miliardi di yen in costi di carburante e l'economia giapponese sta affondando.
L'ufficio del Primo Ministro ha iniziato a pensare che bisogna fare qualcosa, ma deve ignorare il piano privato di Tanaka.
Non è necessaria alcuna legge o decisione del Consiglio dei Ministri.
Tutto ciò che il Primo Ministro Abe deve fare è tenere una conferenza stampa e dire: "Da oggi, per favore, fate funzionare le centrali nucleari secondo la legge".


2024/7/30 in Onomichi

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The "Wall of Idiots" Nuclear Regulatory Commission Left in Power by the DPJ

2024年08月05日 14時10分38秒 | 全般
The following is an article I discovered while searching for information on Yoshiko Sakurai's aforementioned article, which is a must-read for all Japanese citizens.
The "Wall of Idiots" Nuclear Regulatory Commission Left in Power by the DPJ
February 05, 2014
While former Prime Minister Hosokawa and others in the Tokyo gubernatorial election are calling for "stopping the restart of nuclear power plants," the Abe administration's policy is to "restart nuclear power plants deemed safe by the Nuclear Regulation Authority.
However, as we wrote in this column, there is no such thing as a restart review.
What the NRC is doing is a safety review of the new regulatory standards that came into effect in 2013, which is separate from the operation of the reactors.
The safety review should be conducted while the plant is in operation.
However, in the "Basic Policy for Enforcement of New Nuclear Power Plant Regulations (private draft)," Chairman Shunichi Tanaka of the Regulatory Commission states, "At the stage of enforcement of new regulations, all necessary functions for design basis accident prevention and severe accident prevention (including those caused by large-scale natural disasters and terrorism) are required to be provided. Nuclear power plants that do not meet the criteria of the regulations are deemed not to meet the preconditions for resumption of operation," it says.
The new regulations (safety standards) came into effect in July 2013. Still, no nuclear power plant "has all the necessary functions" at this stage and thus does not meet the preconditions for resumption of operation.
In other words, the Regulatory Commission must have the plant apply for a new installation permit from scratch and undergo a review, and until that is completed, it cannot be operated.
Let me use a building example for simplicity.
Let's say your house is 40 years old and needs to meet the earthquake resistance standards of the Building Standard Law.
One day, a government official will come to you and say, "From today onward, we will require all houses everywhere to meet all the necessary earthquake resistance standards, so please submit your house for building certification again. Until you pass that review, you will be evicted." You will be homeless.
That is what Mr. Tanaka is talking about.
The Constitution prohibits such retroactive application of new laws, but in the case of nuclear power plants, the backfitting of new standards may be conditionally allowed.
The law specifies exceptions only when the public interest in enhancing safety exceeds the damage to the power company.
Tanaka's proposal, however, makes all nuclear power plants illegal without such consideration or legal action.
Furthermore, this private proposal is a memo that is not even part of the committee's rules.
The Regulatory Commission can do whatever it wants if such arbitrary administrative guidance is allowed.
If they want to decommission a nuclear power plant owned by a power company they don't like, they can create a safety standard that would make it a violation and declare, "From this day forward, you are in violation."
When I showed Tanaka's private plan to former bureaucrats, they were all surprised.
It is not even a public document.
Chairman Tanaka, who is from an engineering department, may not know that back fitting is a dangerous regulation that borders on a violation of the Constitution.
It was not his personal idea but reflected the will of the then DPJ administration.
In an interview with the Hokkaido Shimbun last April 30, former Prime Minister Kan responded.
If you ask whether [nuclear power plants] will return to their former state, the answer is no.
There is no way that 10 or 20 reactors will be restarted.
The DPJ left in place a system that will not return to normal so quickly.
The symbol of this is the Nuclear Regulation Authority, which was created by destroying the Nuclear and Industrial Safety Agency.
[Omitted]
The LDP also supported the establishment of an independent Nuclear Regulation Commission.
It cannot be undone now.
As he says, the Nuclear Regulation Commission is a highly independent Article 3 commission (a commission with the same status as the ministries as stipulated in Article 3 of the National Government Organization Law), so no government agency can touch it.
Since the vast human resources of Kasumigaseki are not available, the committee members are "private stores" and do as they please.
The Regulatory Commission is a "wall of idiots" left behind by the DPJ to protect "zero nuclear power" even after they left power.
The LDP also agreed because Yasuhisa Shiozaki of the LDP wrote the law establishing the commission.
Anti-nuclear groups also agreed with his idea of creating a Japanese version of the NRC, but METI did not cooperate.
Therefore, Shiozaki, who could not write laws, outsourced the law to a private company to establish the NRC.
It is a common belief in Japan that an independent administrative committee of experts cannot function because knowledge is stored in organizations. Still, the Regulatory Commission proved this to be true spectacularly.
Meanwhile, 10 billion yen in fuel costs are being lost daily, and the Japanese economy is sinking.
The prime minister's office has begun to think that something must be done, but they must ignore Tanaka's private plan.
No law or cabinet decision is needed for that.
All Prime Minister Abe needs to do is hold a press conference and say, "From today, please operate nuclear power plants according to the law.
 

7/30/2024 in Onomichi
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それには法律も閣議決定も必要ない。首相が記者会見して「今日から原発は法令にもとづいて運転してください」といえばいいのである。

2024年08月05日 13時53分36秒 | 全般

以下は先ほどの櫻井よしこさんの日本国民全員が必読の論文に関して検索していて発見した論文である。
民主党が政権に残した「バカの壁」原子力規制委員会 | 池田信夫 | コラム | ニューズウィーク日本版 オフィシャルサイト (newsweekjapan.jp)

民主党が政権に残した「バカの壁」原子力規制委員会
2014年02月05日
東京都知事選挙で細川元首相などが「原発再稼動の阻止」を訴えているのに対して、安倍政権は「原子力規制委員会が安全と認めた原発は再稼動する」という方針だ。
しかし当コラムでも書いたように、再稼動の審査なるものは存在しない。
規制委員会がやっているのは、2013年にできた新しい規制基準についての安全審査で、運転とは別である。
運転しながら安全審査をすればいいのだ。

ところが規制委員会の田中俊一委員長は「原子力発電所の新規制施行に向けた基本的な方針(私案) 」で、「新規制の施行段階で、設計基準事故対策及びシビアアクシデント対策(大規模自然災害やテロに起因するものを含む)として必要な機能をすべて備えていることを求める」とし、「規制の基準を満たしていない原子力発電所は、運転の再開の前提条件を満たさないものと判断する」と書いている。

新規制(安全基準)が施行されたのは2013年7月だが、この段階で「必要な機能をすべて備えている」原発はないので、運転再開の前提条件を満たさない。
つまり規制委員会は、新たにゼロから設置変更許可を申請させて審査を行ない、それが完了するまで原発はまったく運転できないのだ。

わかりやすく、建物の例で説明しよう。
あなたの家が築40年の老朽家屋で、建築基準法の耐震基準を満たしていないとしよう。
ある日、役所がやって来て「今日からどこの家にも必要な耐震基準をすべて備えていることを求めるので、建築確認をもう一度出してください。その審査に合格するまで、立ち退いてください」と言ったら、あなたはホームレスになってしまう。
田中氏の言っているのは、そういうことだ。

このように新しい法律を過去にさかのぼって適用する遡及適用は憲法で禁じているが、原発の場合は新基準のバックフィットを条件つきで認める場合がある。
それは安全性を高める公共の利益が電力会社の損害より大きいときに限り、法律で例外規定を明記するのが普通だ。

ところが田中私案は、このような配慮も法的措置もなく、すべての原発を一律に違法にしてしまった。
しかもこの私案は、委員会規則にもなっていない私的なメモである。
こんな恣意的な行政指導を認めたら、規制委員会は何でもできる。
気に入らない電力会社の原発を廃炉にしようと思ったら、それが違反になるような安全基準をつくり、「今日からお前は違反だ」と宣告すればいいのだ。

この田中私案を元官僚に見せると、みんな驚く。
公文書の体をなしていないからだ。
おそらく工学部出身の田中委員長は、バックフィットが憲法違反と紙一重の危険な規制だということを知らないのだろう。
これは彼の個人的な思いつきではなく、当時の民主党政権の意思を反映していた。
昨年4月30日の北海道新聞のインタビューで、菅元首相はこう答えている。
[原発が]トントントンと元に戻るかといえば、戻りません。
10基も20基も再稼働するなんてあり得ない。
そう簡単に戻らない仕組みを民主党は残した。
その象徴が原子力安全・保安院をつぶして原子力規制委員会をつくったことです。
[中略]
独立した規制委の設置は自民党も賛成しました。
いまさら元に戻すことはできない。

彼のいうように、原子力規制委員会は独立性の強い3条委員会(国家行政組織法第3条に定める各省と同格の委員会)なので、どこの官庁も手が出せない。
霞ヶ関の膨大な人的資源が利用できないので、委員は「個人商店」で思い思いにやっている。
規制委員会は、民主党が政権を去っても「原発ゼロ」を守るために残した「バカの壁」なのだ。

自民党も賛成したのは、自民党の塩崎恭久氏が委員会設置法を書いたからである。
反原発派も「日本版NRCをつくる」という彼の理想に賛同したが、経産省はまったく協力しなかった。
このため法律の書けない塩崎氏は設置法を民間企業に外注した。
日本では知識が組織に蓄積されているので、専門家の独立行政委員会は機能しないというのが通説だが、規制委員会はそれを見事に証明した。

こうしている間にも毎日100億円の燃料費が失われ、日本経済は沈んでゆく。
さすがに首相官邸も何とかしなければと思い始めたらしいが、田中私案なんか無視すればいいのだ。
それには法律も閣議決定も必要ない。
安倍首相が記者会見して「今日から原発は法令にもとづいて運転してください」といえばいいのである。


2024/7/30 in Onomichi

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こうしている間にも毎日100億円の燃料費が失われ、日本経済は沈んでゆく…さすがに首相官邸も何とかしなければと思い始めたらしいが、田中私案なんか無視すればいいのだ

2024年08月05日 13時52分38秒 | 全般

以下は先ほどの櫻井よしこさんの日本国民全員が必読の論文に関して検索していて発見した論文である。
民主党が政権に残した「バカの壁」原子力規制委員会 | 池田信夫 | コラム | ニューズウィーク日本版 オフィシャルサイト (newsweekjapan.jp)

民主党が政権に残した「バカの壁」原子力規制委員会
2014年02月05日
東京都知事選挙で細川元首相などが「原発再稼動の阻止」を訴えているのに対して、安倍政権は「原子力規制委員会が安全と認めた原発は再稼動する」という方針だ。
しかし当コラムでも書いたように、再稼動の審査なるものは存在しない。
規制委員会がやっているのは、2013年にできた新しい規制基準についての安全審査で、運転とは別である。
運転しながら安全審査をすればいいのだ。

ところが規制委員会の田中俊一委員長は「原子力発電所の新規制施行に向けた基本的な方針(私案) 」で、「新規制の施行段階で、設計基準事故対策及びシビアアクシデント対策(大規模自然災害やテロに起因するものを含む)として必要な機能をすべて備えていることを求める」とし、「規制の基準を満たしていない原子力発電所は、運転の再開の前提条件を満たさないものと判断する」と書いている。

新規制(安全基準)が施行されたのは2013年7月だが、この段階で「必要な機能をすべて備えている」原発はないので、運転再開の前提条件を満たさない。
つまり規制委員会は、新たにゼロから設置変更許可を申請させて審査を行ない、それが完了するまで原発はまったく運転できないのだ。

わかりやすく、建物の例で説明しよう。
あなたの家が築40年の老朽家屋で、建築基準法の耐震基準を満たしていないとしよう。
ある日、役所がやって来て「今日からどこの家にも必要な耐震基準をすべて備えていることを求めるので、建築確認をもう一度出してください。その審査に合格するまで、立ち退いてください」と言ったら、あなたはホームレスになってしまう。
田中氏の言っているのは、そういうことだ。

このように新しい法律を過去にさかのぼって適用する遡及適用は憲法で禁じているが、原発の場合は新基準のバックフィットを条件つきで認める場合がある。
それは安全性を高める公共の利益が電力会社の損害より大きいときに限り、法律で例外規定を明記するのが普通だ。

ところが田中私案は、このような配慮も法的措置もなく、すべての原発を一律に違法にしてしまった。
しかもこの私案は、委員会規則にもなっていない私的なメモである。
こんな恣意的な行政指導を認めたら、規制委員会は何でもできる。
気に入らない電力会社の原発を廃炉にしようと思ったら、それが違反になるような安全基準をつくり、「今日からお前は違反だ」と宣告すればいいのだ。

この田中私案を元官僚に見せると、みんな驚く。
公文書の体をなしていないからだ。
おそらく工学部出身の田中委員長は、バックフィットが憲法違反と紙一重の危険な規制だということを知らないのだろう。
これは彼の個人的な思いつきではなく、当時の民主党政権の意思を反映していた。
昨年4月30日の北海道新聞のインタビューで、菅元首相はこう答えている。
[原発が]トントントンと元に戻るかといえば、戻りません。
10基も20基も再稼働するなんてあり得ない。
そう簡単に戻らない仕組みを民主党は残した。
その象徴が原子力安全・保安院をつぶして原子力規制委員会をつくったことです。
[中略]
独立した規制委の設置は自民党も賛成しました。
いまさら元に戻すことはできない。

彼のいうように、原子力規制委員会は独立性の強い3条委員会(国家行政組織法第3条に定める各省と同格の委員会)なので、どこの官庁も手が出せない。
霞ヶ関の膨大な人的資源が利用できないので、委員は「個人商店」で思い思いにやっている。
規制委員会は、民主党が政権を去っても「原発ゼロ」を守るために残した「バカの壁」なのだ。

自民党も賛成したのは、自民党の塩崎恭久氏が委員会設置法を書いたからである。
反原発派も「日本版NRCをつくる」という彼の理想に賛同したが、経産省はまったく協力しなかった。
このため法律の書けない塩崎氏は設置法を民間企業に外注した。
日本では知識が組織に蓄積されているので、専門家の独立行政委員会は機能しないというのが通説だが、規制委員会はそれを見事に証明した。

こうしている間にも毎日100億円の燃料費が失われ、日本経済は沈んでゆく。
さすがに首相官邸も何とかしなければと思い始めたらしいが、田中私案なんか無視すればいいのだ。
それには法律も閣議決定も必要ない。
安倍首相が記者会見して「今日から原発は法令にもとづいて運転してください」といえばいいのである。


2024/7/30 in Onomichi

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自民党も賛成したのは、自民党の塩崎恭久氏が委員会設置法を書いたからである…このため法律の書けない塩崎氏は設置法を民間企業に外注した

2024年08月05日 13時50分36秒 | 全般

以下は先ほどの櫻井よしこさんの日本国民全員が必読の論文に関して検索していて発見した論文である。
民主党が政権に残した「バカの壁」原子力規制委員会 | 池田信夫 | コラム | ニューズウィーク日本版 オフィシャルサイト (newsweekjapan.jp)

民主党が政権に残した「バカの壁」原子力規制委員会
2014年02月05日
東京都知事選挙で細川元首相などが「原発再稼動の阻止」を訴えているのに対して、安倍政権は「原子力規制委員会が安全と認めた原発は再稼動する」という方針だ。
しかし当コラムでも書いたように、再稼動の審査なるものは存在しない。
規制委員会がやっているのは、2013年にできた新しい規制基準についての安全審査で、運転とは別である。
運転しながら安全審査をすればいいのだ。

ところが規制委員会の田中俊一委員長は「原子力発電所の新規制施行に向けた基本的な方針(私案) 」で、「新規制の施行段階で、設計基準事故対策及びシビアアクシデント対策(大規模自然災害やテロに起因するものを含む)として必要な機能をすべて備えていることを求める」とし、「規制の基準を満たしていない原子力発電所は、運転の再開の前提条件を満たさないものと判断する」と書いている。

新規制(安全基準)が施行されたのは2013年7月だが、この段階で「必要な機能をすべて備えている」原発はないので、運転再開の前提条件を満たさない。
つまり規制委員会は、新たにゼロから設置変更許可を申請させて審査を行ない、それが完了するまで原発はまったく運転できないのだ。

わかりやすく、建物の例で説明しよう。
あなたの家が築40年の老朽家屋で、建築基準法の耐震基準を満たしていないとしよう。
ある日、役所がやって来て「今日からどこの家にも必要な耐震基準をすべて備えていることを求めるので、建築確認をもう一度出してください。その審査に合格するまで、立ち退いてください」と言ったら、あなたはホームレスになってしまう。
田中氏の言っているのは、そういうことだ。

このように新しい法律を過去にさかのぼって適用する遡及適用は憲法で禁じているが、原発の場合は新基準のバックフィットを条件つきで認める場合がある。
それは安全性を高める公共の利益が電力会社の損害より大きいときに限り、法律で例外規定を明記するのが普通だ。

ところが田中私案は、このような配慮も法的措置もなく、すべての原発を一律に違法にしてしまった。
しかもこの私案は、委員会規則にもなっていない私的なメモである。
こんな恣意的な行政指導を認めたら、規制委員会は何でもできる。
気に入らない電力会社の原発を廃炉にしようと思ったら、それが違反になるような安全基準をつくり、「今日からお前は違反だ」と宣告すればいいのだ。

この田中私案を元官僚に見せると、みんな驚く。
公文書の体をなしていないからだ。
おそらく工学部出身の田中委員長は、バックフィットが憲法違反と紙一重の危険な規制だということを知らないのだろう。
これは彼の個人的な思いつきではなく、当時の民主党政権の意思を反映していた。
昨年4月30日の北海道新聞のインタビューで、菅元首相はこう答えている。
[原発が]トントントンと元に戻るかといえば、戻りません。
10基も20基も再稼働するなんてあり得ない。
そう簡単に戻らない仕組みを民主党は残した。
その象徴が原子力安全・保安院をつぶして原子力規制委員会をつくったことです。
[中略]
独立した規制委の設置は自民党も賛成しました。
いまさら元に戻すことはできない。

彼のいうように、原子力規制委員会は独立性の強い3条委員会(国家行政組織法第3条に定める各省と同格の委員会)なので、どこの官庁も手が出せない。
霞ヶ関の膨大な人的資源が利用できないので、委員は「個人商店」で思い思いにやっている。
規制委員会は、民主党が政権を去っても「原発ゼロ」を守るために残した「バカの壁」なのだ。

自民党も賛成したのは、自民党の塩崎恭久氏が委員会設置法を書いたからである。
反原発派も「日本版NRCをつくる」という彼の理想に賛同したが、経産省はまったく協力しなかった。
このため法律の書けない塩崎氏は設置法を民間企業に外注した。
日本では知識が組織に蓄積されているので、専門家の独立行政委員会は機能しないというのが通説だが、規制委員会はそれを見事に証明した。

こうしている間にも毎日100億円の燃料費が失われ、日本経済は沈んでゆく。
さすがに首相官邸も何とかしなければと思い始めたらしいが、田中私案なんか無視すればいいのだ。
それには法律も閣議決定も必要ない。
安倍首相が記者会見して「今日から原発は法令にもとづいて運転してください」といえばいいのである。


2024/7/30 in Onomichi

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なので、どこの官庁も手が出せない…霞ヶ関の膨大な人的資源が利用できないので、委員は「個人商店」で思い思いにやっている。

2024年08月05日 13時48分58秒 | 全般

以下は先ほどの櫻井よしこさんの日本国民全員が必読の論文に関して検索していて発見した論文である。
民主党が政権に残した「バカの壁」原子力規制委員会 | 池田信夫 | コラム | ニューズウィーク日本版 オフィシャルサイト (newsweekjapan.jp)

民主党が政権に残した「バカの壁」原子力規制委員会
2014年02月05日
東京都知事選挙で細川元首相などが「原発再稼動の阻止」を訴えているのに対して、安倍政権は「原子力規制委員会が安全と認めた原発は再稼動する」という方針だ。
しかし当コラムでも書いたように、再稼動の審査なるものは存在しない。
規制委員会がやっているのは、2013年にできた新しい規制基準についての安全審査で、運転とは別である。
運転しながら安全審査をすればいいのだ。

ところが規制委員会の田中俊一委員長は「原子力発電所の新規制施行に向けた基本的な方針(私案) 」で、「新規制の施行段階で、設計基準事故対策及びシビアアクシデント対策(大規模自然災害やテロに起因するものを含む)として必要な機能をすべて備えていることを求める」とし、「規制の基準を満たしていない原子力発電所は、運転の再開の前提条件を満たさないものと判断する」と書いている。

新規制(安全基準)が施行されたのは2013年7月だが、この段階で「必要な機能をすべて備えている」原発はないので、運転再開の前提条件を満たさない。
つまり規制委員会は、新たにゼロから設置変更許可を申請させて審査を行ない、それが完了するまで原発はまったく運転できないのだ。

わかりやすく、建物の例で説明しよう。
あなたの家が築40年の老朽家屋で、建築基準法の耐震基準を満たしていないとしよう。
ある日、役所がやって来て「今日からどこの家にも必要な耐震基準をすべて備えていることを求めるので、建築確認をもう一度出してください。その審査に合格するまで、立ち退いてください」と言ったら、あなたはホームレスになってしまう。
田中氏の言っているのは、そういうことだ。

このように新しい法律を過去にさかのぼって適用する遡及適用は憲法で禁じているが、原発の場合は新基準のバックフィットを条件つきで認める場合がある。
それは安全性を高める公共の利益が電力会社の損害より大きいときに限り、法律で例外規定を明記するのが普通だ。

ところが田中私案は、このような配慮も法的措置もなく、すべての原発を一律に違法にしてしまった。
しかもこの私案は、委員会規則にもなっていない私的なメモである。
こんな恣意的な行政指導を認めたら、規制委員会は何でもできる。
気に入らない電力会社の原発を廃炉にしようと思ったら、それが違反になるような安全基準をつくり、「今日からお前は違反だ」と宣告すればいいのだ。

この田中私案を元官僚に見せると、みんな驚く。
公文書の体をなしていないからだ。
おそらく工学部出身の田中委員長は、バックフィットが憲法違反と紙一重の危険な規制だということを知らないのだろう。
これは彼の個人的な思いつきではなく、当時の民主党政権の意思を反映していた。
昨年4月30日の北海道新聞のインタビューで、菅元首相はこう答えている。
[原発が]トントントンと元に戻るかといえば、戻りません。
10基も20基も再稼働するなんてあり得ない。
そう簡単に戻らない仕組みを民主党は残した。
その象徴が原子力安全・保安院をつぶして原子力規制委員会をつくったことです。
[中略]
独立した規制委の設置は自民党も賛成しました。
いまさら元に戻すことはできない。

彼のいうように、原子力規制委員会は独立性の強い3条委員会(国家行政組織法第3条に定める各省と同格の委員会)なので、どこの官庁も手が出せない。
霞ヶ関の膨大な人的資源が利用できないので、委員は「個人商店」で思い思いにやっている。
規制委員会は、民主党が政権を去っても「原発ゼロ」を守るために残した「バカの壁」なのだ。

自民党も賛成したのは、自民党の塩崎恭久氏が委員会設置法を書いたからである。
反原発派も「日本版NRCをつくる」という彼の理想に賛同したが、経産省はまったく協力しなかった。
このため法律の書けない塩崎氏は設置法を民間企業に外注した。
日本では知識が組織に蓄積されているので、専門家の独立行政委員会は機能しないというのが通説だが、規制委員会はそれを見事に証明した。

こうしている間にも毎日100億円の燃料費が失われ、日本経済は沈んでゆく。
さすがに首相官邸も何とかしなければと思い始めたらしいが、田中私案なんか無視すればいいのだ。
それには法律も閣議決定も必要ない。
安倍首相が記者会見して「今日から原発は法令にもとづいて運転してください」といえばいいのである。


2024/7/30 in Onomichi

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おそらく工学部出身の田中委員長は、バックフィットが憲法違反と紙一重の危険な規制だということを知らないのだろう。

2024年08月05日 13時47分18秒 | 全般

以下は先ほどの櫻井よしこさんの日本国民全員が必読の論文に関して検索していて発見した論文である。
民主党が政権に残した「バカの壁」原子力規制委員会 | 池田信夫 | コラム | ニューズウィーク日本版 オフィシャルサイト (newsweekjapan.jp)

民主党が政権に残した「バカの壁」原子力規制委員会
2014年02月05日
東京都知事選挙で細川元首相などが「原発再稼動の阻止」を訴えているのに対して、安倍政権は「原子力規制委員会が安全と認めた原発は再稼動する」という方針だ。
しかし当コラムでも書いたように、再稼動の審査なるものは存在しない。
規制委員会がやっているのは、2013年にできた新しい規制基準についての安全審査で、運転とは別である。
運転しながら安全審査をすればいいのだ。

ところが規制委員会の田中俊一委員長は「原子力発電所の新規制施行に向けた基本的な方針(私案) 」で、「新規制の施行段階で、設計基準事故対策及びシビアアクシデント対策(大規模自然災害やテロに起因するものを含む)として必要な機能をすべて備えていることを求める」とし、「規制の基準を満たしていない原子力発電所は、運転の再開の前提条件を満たさないものと判断する」と書いている。

新規制(安全基準)が施行されたのは2013年7月だが、この段階で「必要な機能をすべて備えている」原発はないので、運転再開の前提条件を満たさない。
つまり規制委員会は、新たにゼロから設置変更許可を申請させて審査を行ない、それが完了するまで原発はまったく運転できないのだ。

わかりやすく、建物の例で説明しよう。
あなたの家が築40年の老朽家屋で、建築基準法の耐震基準を満たしていないとしよう。
ある日、役所がやって来て「今日からどこの家にも必要な耐震基準をすべて備えていることを求めるので、建築確認をもう一度出してください。その審査に合格するまで、立ち退いてください」と言ったら、あなたはホームレスになってしまう。
田中氏の言っているのは、そういうことだ。

このように新しい法律を過去にさかのぼって適用する遡及適用は憲法で禁じているが、原発の場合は新基準のバックフィットを条件つきで認める場合がある。
それは安全性を高める公共の利益が電力会社の損害より大きいときに限り、法律で例外規定を明記するのが普通だ。

ところが田中私案は、このような配慮も法的措置もなく、すべての原発を一律に違法にしてしまった。
しかもこの私案は、委員会規則にもなっていない私的なメモである。
こんな恣意的な行政指導を認めたら、規制委員会は何でもできる。
気に入らない電力会社の原発を廃炉にしようと思ったら、それが違反になるような安全基準をつくり、「今日からお前は違反だ」と宣告すればいいのだ。

この田中私案を元官僚に見せると、みんな驚く。
公文書の体をなしていないからだ。
おそらく工学部出身の田中委員長は、バックフィットが憲法違反と紙一重の危険な規制だということを知らないのだろう。
これは彼の個人的な思いつきではなく、当時の民主党政権の意思を反映していた。
昨年4月30日の北海道新聞のインタビューで、菅元首相はこう答えている。
[原発が]トントントンと元に戻るかといえば、戻りません。
10基も20基も再稼働するなんてあり得ない。
そう簡単に戻らない仕組みを民主党は残した。
その象徴が原子力安全・保安院をつぶして原子力規制委員会をつくったことです。
[中略]
独立した規制委の設置は自民党も賛成しました。
いまさら元に戻すことはできない。

彼のいうように、原子力規制委員会は独立性の強い3条委員会(国家行政組織法第3条に定める各省と同格の委員会)なので、どこの官庁も手が出せない。
霞ヶ関の膨大な人的資源が利用できないので、委員は「個人商店」で思い思いにやっている。
規制委員会は、民主党が政権を去っても「原発ゼロ」を守るために残した「バカの壁」なのだ。

自民党も賛成したのは、自民党の塩崎恭久氏が委員会設置法を書いたからである。
反原発派も「日本版NRCをつくる」という彼の理想に賛同したが、経産省はまったく協力しなかった。
このため法律の書けない塩崎氏は設置法を民間企業に外注した。
日本では知識が組織に蓄積されているので、専門家の独立行政委員会は機能しないというのが通説だが、規制委員会はそれを見事に証明した。

こうしている間にも毎日100億円の燃料費が失われ、日本経済は沈んでゆく。
さすがに首相官邸も何とかしなければと思い始めたらしいが、田中私案なんか無視すればいいのだ。
それには法律も閣議決定も必要ない。
安倍首相が記者会見して「今日から原発は法令にもとづいて運転してください」といえばいいのである。


2024/7/30 in Onomichi

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民主党が政権に残した「バカの壁」原子力規制委員会…田中私案は…委員会規則にもなっていない私的なメモ

2024年08月05日 13時45分38秒 | 全般

以下は先ほどの櫻井よしこさんの日本国民全員が必読の論文に関して検索していて発見した論文である。
民主党が政権に残した「バカの壁」原子力規制委員会 | 池田信夫 | コラム | ニューズウィーク日本版 オフィシャルサイト (newsweekjapan.jp)

民主党が政権に残した「バカの壁」原子力規制委員会
2014年02月05日
東京都知事選挙で細川元首相などが「原発再稼動の阻止」を訴えているのに対して、安倍政権は「原子力規制委員会が安全と認めた原発は再稼動する」という方針だ。
しかし当コラムでも書いたように、再稼動の審査なるものは存在しない。
規制委員会がやっているのは、2013年にできた新しい規制基準についての安全審査で、運転とは別である。
運転しながら安全審査をすればいいのだ。

ところが規制委員会の田中俊一委員長は「原子力発電所の新規制施行に向けた基本的な方針(私案) 」で、「新規制の施行段階で、設計基準事故対策及びシビアアクシデント対策(大規模自然災害やテロに起因するものを含む)として必要な機能をすべて備えていることを求める」とし、「規制の基準を満たしていない原子力発電所は、運転の再開の前提条件を満たさないものと判断する」と書いている。

新規制(安全基準)が施行されたのは2013年7月だが、この段階で「必要な機能をすべて備えている」原発はないので、運転再開の前提条件を満たさない。
つまり規制委員会は、新たにゼロから設置変更許可を申請させて審査を行ない、それが完了するまで原発はまったく運転できないのだ。

わかりやすく、建物の例で説明しよう。
あなたの家が築40年の老朽家屋で、建築基準法の耐震基準を満たしていないとしよう。
ある日、役所がやって来て「今日からどこの家にも必要な耐震基準をすべて備えていることを求めるので、建築確認をもう一度出してください。その審査に合格するまで、立ち退いてください」と言ったら、あなたはホームレスになってしまう。
田中氏の言っているのは、そういうことだ。

このように新しい法律を過去にさかのぼって適用する遡及適用は憲法で禁じているが、原発の場合は新基準のバックフィットを条件つきで認める場合がある。
それは安全性を高める公共の利益が電力会社の損害より大きいときに限り、法律で例外規定を明記するのが普通だ。

ところが田中私案は、このような配慮も法的措置もなく、すべての原発を一律に違法にしてしまった。
しかもこの私案は、委員会規則にもなっていない私的なメモである。
こんな恣意的な行政指導を認めたら、規制委員会は何でもできる。
気に入らない電力会社の原発を廃炉にしようと思ったら、それが違反になるような安全基準をつくり、「今日からお前は違反だ」と宣告すればいいのだ。

この田中私案を元官僚に見せると、みんな驚く。
公文書の体をなしていないからだ。
おそらく工学部出身の田中委員長は、バックフィットが憲法違反と紙一重の危険な規制だということを知らないのだろう。
これは彼の個人的な思いつきではなく、当時の民主党政権の意思を反映していた。
昨年4月30日の北海道新聞のインタビューで、菅元首相はこう答えている。

[原発が]トントントンと元に戻るかといえば、戻りません。
10基も20基も再稼働するなんてあり得ない。
そう簡単に戻らない仕組みを民主党は残した。
その象徴が原子力安全・保安院をつぶして原子力規制委員会をつくったことです。
[中略]
独立した規制委の設置は自民党も賛成しました。
いまさら元に戻すことはできない。

彼のいうように、原子力規制委員会は独立性の強い3条委員会(国家行政組織法第3条に定める各省と同格の委員会)なので、どこの官庁も手が出せない。
霞ヶ関の膨大な人的資源が利用できないので、委員は「個人商店」で思い思いにやっている。
規制委員会は、民主党が政権を去っても「原発ゼロ」を守るために残した「バカの壁」なのだ。

自民党も賛成したのは、自民党の塩崎恭久氏が委員会設置法を書いたからである。
反原発派も「日本版NRCをつくる」という彼の理想に賛同したが、経産省はまったく協力しなかった。
このため法律の書けない塩崎氏は設置法を民間企業に外注した。
日本では知識が組織に蓄積されているので、専門家の独立行政委員会は機能しないというのが通説だが、規制委員会はそれを見事に証明した。

こうしている間にも毎日100億円の燃料費が失われ、日本経済は沈んでゆく。
さすがに首相官邸も何とかしなければと思い始めたらしいが、田中私案なんか無視すればいいのだ。
それには法律も閣議決定も必要ない。
安倍首相が記者会見して「今日から原発は法令にもとづいて運転してください」といえばいいのである。


2024/7/30 in Onomichi

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Most of the people of Japan were completely unaware of the facts she revealed,

2024年08月05日 12時58分59秒 | 全般
The following is from Yoshiko Sakurai's regular column on the front page of today's Sankei Shimbun.
This article also proves that she is a national treasure, a supreme national treasure defined by Saicho.
The children that GHQ conceived gave birth to and raised in Japan after the war.
Children who were raised to hate their father, the Japanese nation (government), using their absolute position as victors of the war.
In other words, GHQ gave birth to countless Smerdyakovs in Japan.
At the same time, GHQ granted privileges to Smerdyakovs with roots in Korea. The representative of Smerdyakovs is the Asahi Shimbun.
The government representing Smerdyakov was the Democratic Party of Japan (DPJ), created by the Asahi Shimbun.

For the first time, this paper reveals to the subscribers of the Sankei Shimbun that Smerdyakovs and his ilk are still trying to inflict significant damage on Japan and bring about the country's downfall with unbelievable stupidity.
Most of the people of Japan were utterly unaware of the facts it revealed, which were the height of folly.
The mass media has intentionally kept this fact hidden from the public.
That is why I have made the latter part of the article, a passage, the title of the Japanese version, and sent it out to the Japanese public.
It is a must-read not only for the people of Japan but for people all over the world.

The Devil's Gaze of the Regulatory Commission
The number of heat stroke deaths has skyrocketed.
In July, for the first time in six years, 123 people died of suspected heat stroke in Tokyo's 23 wards, well over 100.
Of these, over 90% were over the age of 60, and just under 90% died without using air conditioning. 
The Nuclear Regulation Authority, which has strong authority as a committee under Article 3 of the National Government Organization Act, is responsible for confirming the safety of nuclear power generation and making scientific judgments from a neutral and impartial standpoint.
However, Japan's electricity prices are among the world's highest due to the continued abandonment of this responsibility and the absurd blocking of the restart of nuclear power plants.
One of the tragedies of this situation is the sharp increase in heat stroke deaths. 
On August 2, the Regulatory Commission officially concluded that Japan Atomic Power Company's Tsuruga Unit 2 in Fukui Prefecture does not comply with the new regulatory standards.
There were two points of controversy.
(1) Is the fault, named the K fault, located 300 seals north of Unit 2, an active fault?
(2) Does the K fault extend below Unit 2? 
There is an interesting punch picture.
It is a diagram showing the location of the K fault and the reactor building of Unit 2, which Akira Ishiwata of the Regulatory Commission, who is leading the review of Tsuruga Unit 2, used to report to Chairman Shinsuke Yamanaka at the Regulatory Commission on July 31.
In the same document, the red line indicating the K fault disappears in the middle of the diagram, and multiple fracture zones (cracks) run under the Unit 2 reactor building.
Based on the evidence, Mr. Ishiwata has not been able to determine how far the K fault extends.

Tadashi Narabayashi, a Tokyo University of Technology professor who compiled a report on active fault risks and engineering measures for the Atomic Energy Society of Japan, pointed this out. 
The NPP has investigated the age of the active fault by examining the geological fissures in the trenches and the volcanic ash and minerals in the samples taken. It has proved that the K fault is not an active fault because it is old and does not connect to the bottom of the reactor buildings," Narabayashi said.
However, the Regulatory Commission dismissed the report as 'vague and lacking in scientific basis' and 'the possibility that the K fault will move in the future cannot be denied. 
The bedrock directly beneath the Unit 2 building is granite formed around 65 million years ago.
Cracks in the rock have proven that it has not moved in many years and is not connected to the K fault.
The NPP requested an additional investigation to prove further the points the regulatory Commission denied, but the Commission did not respond. 
However, the NRC did not respond and terminated the discussion without any evidence that the K fault was connected to other known fracture zones directly below Unit 2.
It would be an inconvenient truth if additional research proved more clearly and scientifically that the K fault is not active and does not extend below the Unit 2 reactor building. 
Koji Okamoto, a professor at the University of Tokyo specializing in nuclear engineering, dismissed the Regulatory Commission's plot as a "fantasy novel." 

Japan is facing a huge increase in electricity demand, including from AI (artificial intelligence) and data centers.
The question is whether Japan will be able to supply sufficient power and whether it will be able to reduce the globally high electricity prices to a reasonable level.
We must not allow unscientific decisions to prevent the restart of nuclear power plants, impoverish the lives of our citizens, and undermine our nation's industries.
We must not increase the number of people who die because they do not use air conditioning due to soaring electricity prices. 
The primary role of the Nuclear Regulatory Commission is to improve the safety of the nuclear industry and enrich people's lives.
In December 2012, then-Prime Minister Shinzo Abe, who regained power, announced a blanket reversal of the DPJ's zero nuclear power policy.
However, former Prime Minister Naoto Kan said, "The DPJ left behind a mechanism that cannot be undone so easily. The symbol of this is the Nuclear Regulation Authority," he said, citing as a specific example the problem of active faults at the Tsuruga No. 2 reactor of the Japan Atomic Power Company (JGN) (Hokkaido Shimbun, April 30, 2013).
The Nuclear Regulation Authority's view of the nuclear industry is hostile and devilish, as it works in line with Kan's plan to prevent nuclear power plants from restarting and to achieve "zero" nuclear power. 
For example, in Europe and the U.S., all inspection records for nuclear power plants are electronic and can be viewed on a computer, but they must be transcribed and submitted on paper in Japan.
The regulatory agency requires nuclear power plant companies to submit 100,000 pages of inspection-related documents, or 150 volumes of 10-centimeter-thick pipe files, which, when stacked together, measure 15 meters, or the equivalent of a five-story building.
Currently, 300 people are working in a rented gymnasium in Rokkasho Village, Aomori Prefecture, to prepare the documents required by the Regulatory Commission. 
The Regulatory Commission inspects the documents prepared in this way, finds typographical errors and omissions, and orders the documents to be redone.
It is sheer madness. 
A team of experts from the International Atomic Energy Agency (IAEA) has also harshly criticized the Regulatory Commission.
In early 2016, the IAEA released a provisional assessment after a 12-day investigation into the work of the Regulatory Commission.
The first concrete example of improvements to be made at the Commission was that "the Commission should gather more competent and experienced personnel and improve its technical capabilities related to the safety of nuclear fragments through education, training, research, and interdisciplinary cooperation." 
The IAEA's suggestion to "gather competent personnel" embarrasses the Regulatory Commission. 
Currently, the construction of small modular reactors (SMRs) and innovative reactors has begun in the United States and Europe.
Some U.S. universities are installing SMRs and microreactors (tiny reactors) on their campuses.
Plans are underway by a special IAEA team and the U.S. Nuclear Regulatory Commission (NRC) in cooperation with universities.
Tadashi Narabayashi, a specially appointed Tokyo Institute of Technology professor, laughed bitterly. 
"The Japanese NRC will probably review SMRs for over ten years," he said. "But they have no knowledge of SMRs, so they won't be able to conduct the review itself. In this way, our country's scientific and technological progress is falling further behind the rest of the world." 
The LDP cannot take action because it is afraid that the Regulatory Commission, which Kan has created to destroy nuclear power plants with intense hostility, is a highly independent three-judge panel.
It is shameful. 
As the IAEA has advised, appoint more competent and experienced people to the Regulatory Commission for the sake of the people and the national interest.
In addition, the dialogue between the Regulatory Commission and politics should be addressed, which is standard in every country.
Ensure a stable energy supply as a foundation for economic security and a safe and prosperous life for the people.



7/30/2024 in Onomichi
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スメルジャコフ達が、今なお、信じがたいほどの愚劣さで、日本国に大損害を与え、日本国を衰亡させようとしている実態

2024年08月05日 12時23分40秒 | 全般

以下は、今日の産経新聞のフロントページに掲載された櫻井よしこさんの定期連載コラムからである。
本論文も、彼女が、最澄が定義した国宝、至上の国宝であることを証明している。
戦後、GHQが、日本をはらませ、産ませ育てた子供たち。
戦争の勝利者としての絶対的な立場を利用して、実の父親である日本国(政府)を憎むように育てた子供たち。
つまり、GHQは、日本に無数のスメルジャコフを生んだのである。
同時に、朝鮮半島にルーツを持つスメルジャコフ達に対して特権を与えた。
スメルジャコフの代表選手が朝日新聞である。
スメルジャコフを代表する政権が朝日新聞が作った民主党政権だった。
本論文は、スメルジャコフ達が、今なお、信じがたいほどの愚劣さで、日本国に大損害を与え、日本国を衰亡させようとしている実態を、初めて、具体的に、産経新聞の購読者に明らかにした。
彼女が、明らかにしてくれた愚劣の極みのような事実を、殆どの国民が、全く知らなかった。
何故なら、マスメディアは、多分、意図的に、この事実を隠し続けてきたからである。
だから、私は、日本語版では、後半部の、一節、一節をタイトルにして、日本国民向けに発信した。

日本国民のみならず世界中の人たちが必読。

悪魔の如き規制委の視線
熱中症死者が急増中だ。
7月、東京23区内で6年ぶりに100人を大幅に超え123人が熱中症の疑いで死亡した。
うち9割超が60歳以上で、9割弱が冷房を使わずに死亡していた。 
国家行政組織法第三条に基づく委員会として強い権限を有する原子力規制委員会は中立公正の立場で原子力発電の安全性を確認し科学的に判断する責務を負う。
だが、その責務を放棄し再稼働を不条理に阻止し続けた結果、日本の電力料金は世界最高水準だ。
そうした中での悲劇の一つが熱中症死亡者の急増であろう。 
8月2日、規制委は福井県の日本原子力発電、敦賀2号機は新規制基準に適合しないと正式に結論づけた。
注目の論点は2つだった。
①2号機の北方300封に位置するK断層と命名されたものは活断層か
②K断層は2号機の下までつながっているかーである。 
興味深いポンチ絵がある。
敦賀2号機の審査を主導する規制委の石渡明氏が7月31日の規制委で、山中伸介委員長に報告するために用いた「K断層の活動性と2号炉原子炉建屋」の位置関係を示す図である。
同資料ではK断層を示す赤い線は途中で消えており、2号機原子炉建屋の下には複数の破砕帯(ひび割れ)が走っている。
K断層がどこまで続いているのか、石渡氏も証拠に基づく整理ができていないのだ。

原子力学会で活断層リスクと工学的対策の調査報告書を取りまとめた東京工業大特任教授の奈良林直氏が指摘した。 
「日本原電は掘ったトレンチ(試圓溝)の地膕や採取した試料に含まれる火山灰や鉱物などから活動年代を調べ、『K断層は古い年代の地層で活断層ではない』 『原子炉建屋の下までつなかっていない』と証明しました。
しかし、規制委は『曖昧で、科学的根拠に乏しい』『K断層が将来動く可能性を否定できない』として退けました」 
2号機建屋の真下の岩盤は6500万年前頃に形成された花崗岩だ。
ひび割れは長い年月動いていないことが証明されていて、K断層ともつなかっていない。
日本原電は規制委に否定された点をさらに証明するため追加調査を要請した。 
だが規制委は一切応じずK断層が2号機直下の既知の破砕帯の他につながっている証拠がないまま議論を打ち切った。
追加調査でK断層が活断層でないこと、2号機建屋の下まで続いていないことがより鮮明に科学的に証明されたら不都合な真実になるのであろう。 
原子力工学が専門の東大教授の岡本孝司氏はこの規制委の筋書きを「空想小説」だと喝破した。 
AI(人工知能)、データセンターなどわが国は電力需要の大幅増に直面している。
わが国は十分な電力を供給できるのか、世界的に高い水準の電力料金を妥当な水準に下げられるのかが問われている。
非科学的判断で原発再稼働を阻止し、国民生活を貧しくし、わが国産業を弱体化させてはならない。
電力料金の高騰で冷房も使わず亡くなってしまう人を増やしてはならない。 
原子力規制委員会の本来の役割は原子力産業の安全性を高め国民生活を豊かにすることだ。
平成24年12月、政権を奪回した当時の安倍晋三首相は民主党の原発ゼロ政策の白紙撤回を表明した。
しかし、菅直人元首相は「そう簡単に元に戻らない仕組みを民主党は残した。その象徴が(自身が設置した)原子力規制委員会だ」と述べ、具体例として日本原電敦賀原発2号機の活断層問題を挙げた(25年4月30日、北海道新聞)。
原発再稼働を阻止し、原発ゼロを目指す菅氏のたくらみに沿った形で活動する規制委の原子力産業への視線は、敵対的で悪魔の如しだ。 
例えば、欧米では原発に関する検査記録はすべて電子化されパソコンでの閲覧が可能だが、日本では必ず紙に転記して提出しなければならない。
規制委が原発各社に要求する検査関連書類は概して10万ページ、厚さ10センチのパイプ式ファイルで150冊分、積み上げると15メートル、5階建ての建物に匹敵する。
現在、青森県六ヶ所村では規制委の要求する書類作りに体育館を借りて300人が汗だくで働いている。 
こうして作成された書類を規制委は皿の目で検閲し、誤字脱字を見つけてはそれをとがめ、やり直しを命ずるのだ。
正に狂気の沙汰だ。 
こんな規制委を国際原子力機関(IAEA)の専門家チームも厳しく評価している。
2016(平成28)年初め、12日間にわたって規制委の仕事ぶりを調査し暫定評価を公表した。
規制委に対して改善すべき具体例として筆頭に挙げたのが「もっと能力のある経験豊かな人材を集め、教育、訓練、研究および図際協力を通じて原子力片叙射能の安全に関係する技術力を上げるべきだ」という点だった。 
「能力ある人材を集めよ」とIAEAに指摘された恥ずべき存在が規制委だ。 
現在、欧米各国では小型モジュール炉〔SMR〕や革新炉の建設が始まっている。
米国の大学ではキャンパスにSMRやマイクロリアクター(超小型の原子炉)を設置する動きもある。
IAEAの特別チーム、米国原子力規制委員会(NRC)が大学と協力して計画は進行中だ。
東工大特任教授の奈良林直氏が苦笑した。 
「日本の規制委はおそらくSMRに関して10年以上の活断層審査をするのではないか。でも彼らにはSMRの知識もありませんから審査そのものができないでしょう。このようにしてわが国の科学技術の進歩は世界からどんどん遅れていくのです」 
菅氏が強い敵意をもって原発潰しのためにつくった規制委が高い独立性をもった三条委員会であるという事実に恐れをなして、自民党は対策を立てられないでいる。
情けない。 
国民と国益のため、IAEAの助言のようにもっと能力のある経験豊かな人材を規制委に任命せよ。
その上で、どの国でも普通に行われている規制委と政治の対話を怠るな。
国民生活を安全に豊かに、経済安全保障の土台として、安定したエネルギー供給をはかれるようにせよ。



2024/7/30 in Onomichi

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国民生活を安全に豊かに、経済安全保障の土台として、安定したエネルギー供給をはかれるようにせよ。

2024年08月05日 11時45分51秒 | 全般

以下は、今日の産経新聞のフロントページに掲載された櫻井よしこさんの定期連載コラムからである。
本論文も彼女が最澄が定義した国宝、至上の国宝であることを証明している。
日本国民のみならず世界中の人たちが必読。

悪魔の如き規制委の視線
熱中症死者が急増中だ。
7月、東京23区内で6年ぶりに100人を大幅に超え123人が熱中症の疑いで死亡した。
うち9割超が60歳以上で、9割弱が冷房を使わずに死亡していた。 
国家行政組織法第三条に基づく委員会として強い権限を有する原子力規制委員会は中立公正の立場で原子力発電の安全性を確認し科学的に判断する責務を負う。
だが、その責務を放棄し再稼働を不条理に阻止し続けた結果、日本の電力料金は世界最高水準だ。
そうした中での悲劇の一つが熱中症死亡者の急増であろう。 
8月2日、規制委は福井県の日本原子力発電、敦賀2号機は新規制基準に適合しないと正式に結論づけた。
注目の論点は2つだった。
①2号機の北方300封に位置するK断層と命名されたものは活断層か
②K断層は2号機の下までつながっているかーである。 
興味深いポンチ絵がある。
敦賀2号機の審査を主導する規制委の石渡明氏が7月31日の規制委で、山中伸介委員長に報告するために用いた「K断層の活動性と2号炉原子炉建屋」の位置関係を示す図である。
同資料ではK断層を示す赤い線は途中で消えており、2号機原子炉建屋の下には複数の破砕帯(ひび割れ)が走っている。
K断層がどこまで続いているのか、石渡氏も証拠に基づく整理ができていないのだ。

原子力学会で活断層リスクと工学的対策の調査報告書を取りまとめた東京工業大特任教授の奈良林直氏が指摘した。 
「日本原電は掘ったトレンチ(試圓溝)の地膕や採取した試料に含まれる火山灰や鉱物などから活動年代を調べ、『K断層は古い年代の地層で活断層ではない』 『原子炉建屋の下までつなかっていない』と証明しました。
しかし、規制委は『曖昧で、科学的根拠に乏しい』『K断層が将来動く可能性を否定できない』として退けました」 
2号機建屋の真下の岩盤は6500万年前頃に形成された花崗岩だ。
ひび割れは長い年月動いていないことが証明されていて、K断層ともつなかっていない。
日本原電は規制委に否定された点をさらに証明するため追加調査を要請した。 
だが規制委は一切応じずK断層が2号機直下の既知の破砕帯の他につながっている証拠がないまま議論を打ち切った。
追加調査でK断層が活断層でないこと、2号機建屋の下まで続いていないことがより鮮明に科学的に証明されたら不都合な真実になるのであろう。 
原子力工学が専門の東大教授の岡本孝司氏はこの規制委の筋書きを「空想小説」だと喝破した。 
AI(人工知能)、データセンターなどわが国は電力需要の大幅増に直面している。
わが国は十分な電力を供給できるのか、世界的に高い水準の電力料金を妥当な水準に下げられるのかが問われている。
非科学的判断で原発再稼働を阻止し、国民生活を貧しくし、わが国産業を弱体化させてはならない。
電力料金の高騰で冷房も使わず亡くなってしまう人を増やしてはならない。 
原子力規制委員会の本来の役割は原子力産業の安全性を高め国民生活を豊かにすることだ。
平成24年12月、政権を奪回した当時の安倍晋三首相は民主党の原発ゼロ政策の白紙撤回を表明した。
しかし、菅直人元首相は「そう簡単に元に戻らない仕組みを民主党は残した。その象徴が(自身が設置した)原子力規制委員会だ」と述べ、具体例として日本原電敦賀原発2号機の活断層問題を挙げた(25年4月30日、北海道新聞)。
原発再稼働を阻止し、原発ゼロを目指す菅氏のたくらみに沿った形で活動する規制委の原子力産業への視線は、敵対的で悪魔の如しだ。 
例えば、欧米では原発に関する検査記録はすべて電子化されパソコンでの閲覧が可能だが、日本では必ず紙に転記して提出しなければならない。
規制委が原発各社に要求する検査関連書類は概して10万ページ、厚さ10センチのパイプ式ファイルで150冊分、積み上げると15メートル、5階建ての建物に匹敵する。
現在、青森県六ヶ所村では規制委の要求する書類作りに体育館を借りて300人が汗だくで働いている。 
こうして作成された書類を規制委は皿の目で検閲し、誤字脱字を見つけてはそれをとがめ、やり直しを命ずるのだ。
正に狂気の沙汰だ。 
こんな規制委を国際原子力機関(IAEA)の専門家チームも厳しく評価している。
2016(平成28)年初め、12日間にわたって規制委の仕事ぶりを調査し暫定評価を公表した。
規制委に対して改善すべき具体例として筆頭に挙げたのが「もっと能力のある経験豊かな人材を集め、教育、訓練、研究および図際協力を通じて原子力片叙射能の安全に関係する技術力を上げるべきだ」という点だった。 
「能力ある人材を集めよ」とIAEAに指摘された恥ずべき存在が規制委だ。 
現在、欧米各国では小型モジュール炉〔SMR〕や革新炉の建設が始まっている。
米国の大学ではキャンパスにSMRやマイクロリアクター(超小型の原子炉)を設置する動きもある。
IAEAの特別チーム、米国原子力規制委員会(NRC)が大学と協力して計画は進行中だ。
東工大特任教授の奈良林直氏が苦笑した。 
「日本の規制委はおそらくSMRに関して10年以上の活断層審査をするのではないか。でも彼らにはSMRの知識もありませんから審査そのものができないでしょう。このようにしてわが国の科学技術の進歩は世界からどんどん遅れていくのです」 
菅氏が強い敵意をもって原発潰しのためにつくった規制委が高い独立性をもった三条委員会であるという事実に恐れをなして、自民党は対策を立てられないでいる。
情けない。 
国民と国益のため、IAEAの助言のようにもっと能力のある経験豊かな人材を規制委に任命せよ。
その上で、どの国でも普通に行われている規制委と政治の対話を怠るな。
国民生活を安全に豊かに、経済安全保障の土台として、安定したエネルギー供給をはかれるようにせよ。



2024/7/30 in Onomichi

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国民と国益のため、IAEAの助言のようにもっと能力のある経験豊かな人材を規制委に任命せよ。その上で、どの国でも普通に行われている規制委と政治の対話を怠るな。

2024年08月05日 11時44分57秒 | 全般

以下は、今日の産経新聞のフロントページに掲載された櫻井よしこさんの定期連載コラムからである。
本論文も彼女が最澄が定義した国宝、至上の国宝であることを証明している。
日本国民のみならず世界中の人たちが必読。

悪魔の如き規制委の視線
熱中症死者が急増中だ。
7月、東京23区内で6年ぶりに100人を大幅に超え123人が熱中症の疑いで死亡した。
うち9割超が60歳以上で、9割弱が冷房を使わずに死亡していた。 
国家行政組織法第三条に基づく委員会として強い権限を有する原子力規制委員会は中立公正の立場で原子力発電の安全性を確認し科学的に判断する責務を負う。
だが、その責務を放棄し再稼働を不条理に阻止し続けた結果、日本の電力料金は世界最高水準だ。
そうした中での悲劇の一つが熱中症死亡者の急増であろう。 
8月2日、規制委は福井県の日本原子力発電、敦賀2号機は新規制基準に適合しないと正式に結論づけた。
注目の論点は2つだった。
①2号機の北方300封に位置するK断層と命名されたものは活断層か
②K断層は2号機の下までつながっているかーである。 
興味深いポンチ絵がある。
敦賀2号機の審査を主導する規制委の石渡明氏が7月31日の規制委で、山中伸介委員長に報告するために用いた「K断層の活動性と2号炉原子炉建屋」の位置関係を示す図である。
同資料ではK断層を示す赤い線は途中で消えており、2号機原子炉建屋の下には複数の破砕帯(ひび割れ)が走っている。
K断層がどこまで続いているのか、石渡氏も証拠に基づく整理ができていないのだ。

原子力学会で活断層リスクと工学的対策の調査報告書を取りまとめた東京工業大特任教授の奈良林直氏が指摘した。 
「日本原電は掘ったトレンチ(試圓溝)の地膕や採取した試料に含まれる火山灰や鉱物などから活動年代を調べ、『K断層は古い年代の地層で活断層ではない』 『原子炉建屋の下までつなかっていない』と証明しました。
しかし、規制委は『曖昧で、科学的根拠に乏しい』『K断層が将来動く可能性を否定できない』として退けました」 
2号機建屋の真下の岩盤は6500万年前頃に形成された花崗岩だ。
ひび割れは長い年月動いていないことが証明されていて、K断層ともつなかっていない。
日本原電は規制委に否定された点をさらに証明するため追加調査を要請した。 
だが規制委は一切応じずK断層が2号機直下の既知の破砕帯の他につながっている証拠がないまま議論を打ち切った。
追加調査でK断層が活断層でないこと、2号機建屋の下まで続いていないことがより鮮明に科学的に証明されたら不都合な真実になるのであろう。 
原子力工学が専門の東大教授の岡本孝司氏はこの規制委の筋書きを「空想小説」だと喝破した。 
AI(人工知能)、データセンターなどわが国は電力需要の大幅増に直面している。
わが国は十分な電力を供給できるのか、世界的に高い水準の電力料金を妥当な水準に下げられるのかが問われている。
非科学的判断で原発再稼働を阻止し、国民生活を貧しくし、わが国産業を弱体化させてはならない。
電力料金の高騰で冷房も使わず亡くなってしまう人を増やしてはならない。 
原子力規制委員会の本来の役割は原子力産業の安全性を高め国民生活を豊かにすることだ。
平成24年12月、政権を奪回した当時の安倍晋三首相は民主党の原発ゼロ政策の白紙撤回を表明した。
しかし、菅直人元首相は「そう簡単に元に戻らない仕組みを民主党は残した。その象徴が(自身が設置した)原子力規制委員会だ」と述べ、具体例として日本原電敦賀原発2号機の活断層問題を挙げた(25年4月30日、北海道新聞)。
原発再稼働を阻止し、原発ゼロを目指す菅氏のたくらみに沿った形で活動する規制委の原子力産業への視線は、敵対的で悪魔の如しだ。 
例えば、欧米では原発に関する検査記録はすべて電子化されパソコンでの閲覧が可能だが、日本では必ず紙に転記して提出しなければならない。
規制委が原発各社に要求する検査関連書類は概して10万ページ、厚さ10センチのパイプ式ファイルで150冊分、積み上げると15メートル、5階建ての建物に匹敵する。
現在、青森県六ヶ所村では規制委の要求する書類作りに体育館を借りて300人が汗だくで働いている。 
こうして作成された書類を規制委は皿の目で検閲し、誤字脱字を見つけてはそれをとがめ、やり直しを命ずるのだ。
正に狂気の沙汰だ。 
こんな規制委を国際原子力機関(IAEA)の専門家チームも厳しく評価している。
2016(平成28)年初め、12日間にわたって規制委の仕事ぶりを調査し暫定評価を公表した。
規制委に対して改善すべき具体例として筆頭に挙げたのが「もっと能力のある経験豊かな人材を集め、教育、訓練、研究および図際協力を通じて原子力片叙射能の安全に関係する技術力を上げるべきだ」という点だった。 
「能力ある人材を集めよ」とIAEAに指摘された恥ずべき存在が規制委だ。 
現在、欧米各国では小型モジュール炉〔SMR〕や革新炉の建設が始まっている。
米国の大学ではキャンパスにSMRやマイクロリアクター(超小型の原子炉)を設置する動きもある。
IAEAの特別チーム、米国原子力規制委員会(NRC)が大学と協力して計画は進行中だ。
東工大特任教授の奈良林直氏が苦笑した。 
「日本の規制委はおそりくSMRに関して10年以上の活断層審査をするのではないか。でも彼らにはSMRの知識もありませんから審査そのものができないでしょう。このようにしてわが国の科学技術の進歩は世界からどんどん遅れていくのです」 
菅氏が強い敵意をもって原発潰しのためにつくった規制委が高い独立性をもった三条委員会であるという事実に恐れをなして、自民党は対策を立てられないでいる。
情けない。 
国民と国益のため、IAEAの助言のようにもっと能力のある経験豊かな人材を規制委に任命せよ。
その上で、どの国でも普通に行われている規制委と政治の対話を怠るな。
国民生活を安全に豊かに、経済安全保障の土台として、安定したエネルギー供給をはかれるようにせよ。



2024/7/30 in Onomichi

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