« Si l’homme était heureux, il le serait d’autant plus qu’il serait moins diverti, comme les saints et Dieu. » – « Oui. Mais n’est-ce pas être heureux que de pouvoir être réjoui par le divertissement ? » – « Non. Car il vient d’ailleurs et de dehors et ainsi il est dépendant et partant sujet à être troublé par mille accidents qui font les afflictions inévitables. » (B. 170, L. 132, S. 165, LG. 123)
もし人間が幸福であったら、聖者や神のように、気を紛らすことが少なければ少ないほど、それだけ幸福であろう。― そうだ。だが気ばらしで喜ばしてもらえることは、幸福ではないだろうか。― いや、ちがう。なぜなら、気を紛らすことは、ほかから、外部からくる。したがって、それは、従属しているものであって、その結果として、無数の事故によって乱されがちであり、それが苦しみを避けがたいものにするからである。(前田陽一訳)
Misère.
La seule chose qui nous console de nos misères est le divertissement, et cependant c’est la plus grande de nos misères. Car c’est cela qui nous empêche principalement de songer à nous, et qui nous fait perdre insensiblement. Sans cela nous serions dans l’ennui, et cet ennui nous pousserait à chercher un moyen plus solide d’en sortir, mais le divertissement nous amuse et nous fait arriver insensiblement à la mort. (B. 171, L. 414, S. 33, LG. 393)
惨めさ。
われわれの惨めなことを慰めてくれるただ一つのものは、気を紛らすことである。しかし、これこそ、われわれの惨めさの最大のものである。なぜなら、われわれが自分自身について考えるのを妨げ、われわれを知らず知らずのうちに滅びに至らせるものは、まさにそれだからである。それがなかったら、われわれは倦怠に陥り、この倦怠から脱出するためにもっとしっかりした方法を求めるように促されたことであろう。ところが、気を紛らすことは、われわれを楽しませ、知らず知らずのうちに、われわれを死に至らせるのである。(前田陽一訳)
※コメント投稿者のブログIDはブログ作成者のみに通知されます