『祈り』に見られるパスカルの救済のヴィジョンとそれを大枠で特徴づけている思考のシェーマについて、メナール教授の次の解説を読むことで、少なくとも知的には、しかしまだあくまで「他人事」として、一定の外的理解は、これを得ることができるように思う。
Si le goût de Pascal pour les rapports binaires s’est imposé d’abord à nous dans la figuration du spirituel par le matériel, les rapports ternaires joueront ici le premier rôle. Certes, le binaire ne disparaît pas totalement : le « païen » et ses « idoles » terrestres cèdent la place au chrétien aspirant du Dieu qui ne passe pas. Mais au regard de la maladie, tout un ordre des choses s’établit où trois termes sont nécessaires pour parvenir jusqu’à l’absolu. Il existe ainsi une progression ternaire entre la maladie, qui, éloignant du monde, peut déjà passer pour « une espèce de mort », la mort elle-même et, au moment où se rejoignent tous les destins individuels, la fin du monde (992).
パスカルの二項から成る関係に対する嗜好が、精神的なものの物質的なものによる表示においてまずはっきりと認められたが、この小品においては、三項からなる関係が主役を演じている。もちろん、二項関係が完全に姿を消しているわけではない。たとえば、「異教徒」やその地上の「偶像」は、過ぎ去らない神を切望するキリスト教徒に席を譲っている。しかし、病の見地からすると、絶対的なものに辿り着くのに三つの言葉が必要であるようなひとつの秩序が出来上がっている。こうして、この世から人を遠ざけ、「一種の死」とすでに見なせる病気、死そのもの、そして、全人類がひとつになるこの世の終り、この三段階を経る進展があることになる(456-457 一部改変)。
A quoi correspondent trous « jugements » successifs, celui que la maladie invite l’âme à porter sur elle-même, préparation et prévention du jugement de Dieu sur l’âme individuelle à la fin de la vie, sur la totalité des âmes, par le jugement général, à la fin du monde. Plus grandiose encore, car la totalité des temps y est embrassée, la distribution des souffrances et des consolations dans l’humanité aux différents âges de l’histoire (ibid.).
これら三つには、相次ぐ三つの「審判」が対応することになる。病気が魂に魂自身について下すように促す審判、生涯の終わりにひとりひとりの魂に下される神の審判とそれに対する準備や予防措置、それにこの世の終わりに全人類に下される公審判である。時間の総体がそこには包含されているので、歴史のさまざまな時期に人類に対してなされている苦しみと慰めのこの分配は、(上の二項関係に基づいたヴィジョンより)、いっそう壮大である(457 一部改変)。
La souffrance appartient à la nature ; la consolation — du moins la seule véritable — appartient à la grâce. Avant la venu du Christ, le monde, païen et juif, a vécu dans les maux sans consolation. Depuis la venue du Christ, les souffrances de la nature sont équilibrées chez les fidèles par les consolations de la grâce. Dans l’état de « gloire », la « béatitude » seule sera le partage des saints (ibid.).
苦しみは自然に属している。慰め ― 少なくともその唯ひとつの真なる慰め ― は恩寵に属している。キリスト到来以前の異教やユダヤ教の世界は、慰めなしの苦しみのなかで生きていた。キリスト到来以後、キリスト者にあっては、自然の苦しみは恩寵の慰めによって釣り合いがとられることになる。「栄光」の状態にあっては、「至福」のみが聖徒たちの取り分となる(457 一部改変)。
La Prière demande donc la délivrance du péché pour échapper à la souffrance qui règne seule dans l’« état de judaïsme » ; elle implore la grâce qui, dans la situation ambiguë de l’homme racheté, permet de joindre aux souffrances les consolations ; quant à l’état de béatitude, il ne peut être l’objet que d’un désir, que le don de la grâce prépare à voir satisfait. Dans ces successions de trois étapes subsiste une part du rapport symbolique de figurant à figuré qui caractérisait les séries binaires : une sorte d’unité est ainsi préservée par-dessus les ruptures. Ampleur et unité de la vision : on ne saurait donner plus grande portée au thème de la malade (992-993).
『祈り』は、したがって、「ユダヤ教の状態」において君臨する唯一のものである苦しみから逃れるために、罪からの解放を求める。『祈り』は恩寵を懇請するが、この恩寵が、贖われた人間が置かれるどっちつかずの状態のなかで、苦しみに慰めを結び合わせることができるようにする。至福の状態は、ひとつの望みだけの対象となることができるが、恩寵の賜物がこの望みを満足させてくれることになる。こうした三段階の継起のなかに、二項から成る系列を特徴づけていた表徴するものと表徴されるものとの関係の一部が存続している。こうして、断絶を超えて一種の一体性が保たれている。ヴィジョンの大きさと一体性。病気というテーマにこれ以上の拡がりを与えることは不可能であろう(457 一部改変)。